Ship's

la Contreverse de Vallalodolid

Blâme de la culture Indigènes ligne 1 à 18

- les natif sont pris pour des ignorants, qu’on peut relevé grâce à l’ énumération «ignore l’usage du métal »«  des armes à feu et de la roue » alors cette énumération démontre que les autochtones ne connaisse pas le savoir faire du métal

- la manière donc les indigène porte le fardeaux est mis en relation avec la traction animalière, à l’aide d’un outil comparatif « comme des bêtes ». Jean-Claude Carrière crée ainsi une image péjorative des indigène.

-la religion des indigène est alliée aux faites qu’elles soit immonde avec l’hyperbole «  le plus haïssables » «  la plus offensante » cette figure de style dénigres les mœurs indigène qui est une forme d’intolérance

-la description des indigènes est en en corrélation avec l’innocence des enfants à l’aide de la comparaison comparaison « comme nos enfants ou nos idiots » ainsi cette comparaison rabaisse voit humilie les indigènes

opposition des argument adverses Ligne 19 à 38

- « parce qu’ils n’adorent pas l’or et l’argent au point de leur sacrifier corps et âme, est ce une raison pour les traiter de bêtes » cet argument est fait pour évoquer une idée de tolérance

- «  et pourquoi jugez vous leur nourriture détestable ? Y avez vous goûté ? » cette phrase est une sorte de provocation pour dire qu’il se base sur des rumeurs

- « vous dites qu’ils portent leurs fardeaux sur le dos : Ignorez-vous que la nature ne leur à donner aucun animal qui pût le faire à leur place ? » remise en cause de leur la comparaison avec les animaux

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