Paysage baudelaire

« Paysage », Baudelaire.

Comment le poète transforme-t-il le paysage réel de Paris en un objet poétique ?

Poème qui fait référence aux « Tableaux Parisiens ».

Il utilise la 1ère personne du singulier « composer » ; pupitre ->polysémie (renvoie au bureau de l’élève qu’il met du temps à les écrire)

V16  « bâtir » construire le texte.

Le poète voit de chez lui/observe un paysage urbain. Rend la ville vivante, personnification de l’atelier v6 « qui chante et qui bavarde »

Les clochers -> (bruit et église) -> édifice. Religieux+personnification de l’usine v6. Le poète nous donne des indications sur les caractéristiques de l’usine. Le poète observe le paysage «  du haut de sa mansarde » (=pièce dans les combles) il observe la réalité de l’au-delà, l’éternité, infini, voit l’avenir.

Bucolique : champêtre/campagne, rural terme mélioratif.

Image urbaine, il va insister sur le son des cloches

Hymnes solennels renvois a la musique et solennel veut dire respectueux. Travail de musicalité en « en »

Bruit des cloches -> musique, ville perçue de manière agréable. »

« Mâts » -> cheminer des usines métaphore avec le mats des bateaux (liberté, aventure.)

Fleuve de charbon : pollution (métaphore du caractère de la ville et une image belle)

Opposition des saisons au pluriel et de l’hiver au singulier (hiver propice au travail , on reste chez soit )

Abondance d’éléments naturels – opposition d’article définis dans la 1ere strophe-article indéfinis 2eme strophe.

La vision et l’ouï : vision intérieur

Emeute : 1848 = instabilité politique Napoléon III remonte au pouvoir.

On passe de la vision extérieur (de ce qu’il voit, il imagine) à une vision intérieur.

« Je veux » ->présent d’énonciation = la chose se réalise.

Cœur (polysémie)=   1.Organe vital / 2.Siège des sentiments / 3.Goût

Comparaison avec les astrologues «  comme les astrologues. »

Ciel : éternité =, infini, puissance (au dessus du monde).

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