Oral de français.
Commentaire de texte : Oral de français.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Insayn • 13 Décembre 2017 • Commentaire de texte • 552 Mots (3 Pages) • 646 Vues
Sujet d'exposés n° 4
On a trois passages a regarder
I) Introduction
Un vieux kanak et un vieux blanc sont en voiture en Nouvelle Calédonie. Au moments de manifestation Kanak de 1986. Ils sont bloquée à un barrage tenue par deux jeunes kanaks pour qui le «blanc» est forcement un mauvais. «Le nôtres ont toujours dû courber l’échine devant eux»(p15 l100). Le vieux kanak annonce l'histoire du livre en disant: «Nous n'avons pas tous marché à genoux et certains blancs était plus respectable que bien des nôtres».
L'Auteur cherche à nous faire réfléchir sur la couleur de la peau et de ses implications. Un black n'est pas forcement gentil ou méchant de même pour le blanc. Tout n'est pas blanc ou noir dans la société.
De nos jours un des meilleur exemples pourrait être Obama le président des États Unis élus par des noirs et des blancs.
II) Page 80 à 81
Gocéné et Badimon sont poursuivies par des policiers dans la gare de l'est car ils désirent aller en Allemagne chercher Minoé. Fofana, un travailleur de la gare,les protèges en les attirants dans un local de service. Fofana leur expliques pourquoi il les a aider et il se présente.
Il y a plusieurs leçons a retenir de se court passage
1°Leçon
Quand Fofana dit: «Et quand des noirs sont poursuivis par des policiers, je ne sais pas pourquoi, je suis du cote du noirs». La leçon est que on aide plus facilement quelqu'un
de notre couleur de peau, qu'une autre. Le blanc aidera plus facilement le blanc, le noir aidera le noir. J'aiderais plus facilement mon ami parce que c'est un ami sans savoir s'il a raison ou tord.
2°Leçon
On sait que des sénégalais, des noirs ont défendus la France a la guerre: «à cause des gaz...Les soldats blancs ne voulaient plus monter à l'assaut, et c'est à nous, les tirailleurs des troupes coloniales, que le général a demandé de sauver la France» a Verdun.On parle rarement de leurs conditions de vie.
En fait ils ont servit de chair à canon pour une France qui les traites comme rien. «on s'est dégagé de la boue des tranches, sans masques(gaz),poussés par la police militaire et les gendarmes qui étaient protéger eux et qui abattait les frères qui essayaient de fuir le nuage de mort.
III)Page 100 à 104
Après une fuite dans paris, ils s’échappent du bureau de l'administrateur de l'exposition par la fenêtre.
Une balle tue Badimoin et il s'effondre dans les bras de Gocéné. Les policier s’appéter à tuer Gocéné froidement a bout portant, mais un homme s'oppose verbalement «Vous n'avez pas le droit de tirer sur un homme désarme sans défense. Jignore ce qu'il a fait, mais ça s'appelle un assassinat.». Gocéné n'est plus un kanak ou un black, mais un homme a la vue de l'homme.Cette homme kanak à les même droit qu'un homme blanc.C'est une des premières fois dans le livre où il est traité comme un homme.
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