Lettre à SARAH Cohen-Scali
Lettre type : Lettre à SARAH Cohen-Scali. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sconedera34 • 3 Novembre 2018 • Lettre type • 675 Mots (3 Pages) • 607 Vues
Chère Sarah Cohen-Scali,
je tenais à vous envoyer cette lettre pour vous donner mon avis sur votre roman « MAX ».
j’aime beaucoup votre style d’écriture, elle est très simple, vous n’êtes pas passer par mille chemins pour exprimer la vie de Max.
Vous êtes allée droit au but, pas de « chichi » comme on dit.
Vous exposez les choses telles qu’elles sont, ce qui rend votre roman très réaliste. Vous ne mettez pas de détails inutiles juste l’essentiel ce qui fait avancer l’histoire.
Vos phrases courtes et très claires rendent votre roman accessible à tous.
Parlons de MAX un enfant très intelligent. Le fait que le personnage principal soit un enfant rend parfois les choses gênantes car à son âge il sait et dit des choses qu’il ne devrait pas dire ni savoir mais il se dégage de sa manière de parler une spontanéité innocente ce qui fait qu’ont ne peut pas lui en vouloir .
Max est un jeune enfant qui est très fier de son idéologie nazi.
Dès son plus jeune âge il est déterminé à vivre pour le Fürher, à être le meilleur des nazi.
D’ailleurs il est né le même jour qu’ Hitler, baptisé par le Fürher en personne ce qui lui confère un statut privilégié .
A la lecture Max nous envoie tout ces propos choquants à la figure ce qui ne plaira pas à tout le monde. Pour ma part cela ne m’a pas plus déranger que ça en le lisant car on ne pas lui en vouloir, au final c’est une personne comme nous qui a été élevé avec cette mentalité, et pour lui il n’y a rien de plus normal et c’est compréhensif.
Au contraire je trouve même intéressant que vous ayez écrit un livre qui se penche sur le point de vue des nazis car en général on parle plus de ce que les nazis ont fait subir aux juifs mais dans votre roman vous êtes neutre et vous racontez l’histoire du programme nazi simplement sans dire que c’est mal. Vous laissez au lecteur le choix de se ranger du côté qu’il veut(même si je pense qu’il n’y a plus beaucoup de nazis aujourd’hui).
Dans cette histoire tragique on se rend compte qu’il y a des victimes dans les deux camps car dans le roman, Max est une caricature du ‘ vrai nazi’ qui est sans même le savoir victime du projet fou mené par Hitler .
Tous les détails comme les dates, les lieux, les faits qui ne sont pas en trop et bien utilisés nous plongent à l’intérieur du contexte et nous permettent de mieux comprendre le texte.
Le fait que Max parle à la première personne rend le roman d’autant plus captivant .
Malgré que ce petit garçon soit borné et fidèle à ses idées, quand il va rencontrer Lukas un juif polonais qui ressemble à la perfection à un jeune de la race aryenne, tout va changer pour lui .
Il n’est pas comme les autres et n’a peur de rien, ne se soumet pas au règlement et insulte même l’idéologie nazi ce qui contredit max lui qui est si dévoué à son Fürher mais il éprouve quand même de l’affection pour lui et l’aide.
Pour ce jeune garçon qui n’a ni père ni mère (mis à part le Fürher pour père et l’Allemagne
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