Les fables de la Fontaine n'ont-elle pas un côté pessimiste? Exemple de La cour du lion.

Léo                                                                                                 2nd 10

WATINE

Dissertation

La Fontaine est aujourd’hui le plus connu des poètes français du 17e siècle, et il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. 

Malgré toute ces nombreuse fables mondialement connu et aimé par tout le monde, certaine personne ce demande si ces fables n'ont pas un côté pessimiste.

Pour cela, nous allons dans un premier temps voir si ces fables sont pessimistes avec pour exemple « La cour du lion ».

Enfin nous allons étudier un exemple de fable optimiste qui sera « OL ».

Dans « La cour du lion » de nombreux exemples montre que les fables de la Fontaine sont pessimistes :

D'abord la fable appartient a des registres qui sont guère gai puisque que l'on retrouve le tragique et le satirique. Il y a présence de tragique puisque la mort est présente. En effet, dans cette fable elle est atténuer par une périphrase : « L'ours descend chez Pluton ».La Fontaine veut nous montrer que le roi aime la dissimulation. C’est un homme sévère. Si on ne lui dit pas ce qu’il veut entendre, il nous « envoie chez Pluton ». C’est lui qui décide tout.

Ensuite le fabuliste utilise cette fable pour critiquer la société par le biais des animaux pour éviter la censure. Pour cela, chaque animal est personnifiés, il utilise un vocabulaire de la monarchie ainsi que  narine, mine, grimace, flatteur et odorat. La Fontaine utilise des mots humain pour caractériser les animaux, ce sont des stéréotypes traditionnel. L'ours caractérise la maladresse et la lourdeur « boucha sa narine ». Le singe symbolise la flatterie, il est courtisanesque. Le renard lui prends le rôle de l'intelligence et la dissimulation. Le lion est symbole d'autorité, de puissance, de violence et de tyrannie. Avec toute ces personnification, le fablier fait une critique social. Il cherche surtout a critiquer les courtisans les qualifiants d'hypocrite, de gens faux. Il dit cela puisque les courtisans, a cette époque, se battaient entre eux pour être auprès du roi, ce qui était une place chère. Cela montre a quel points il est difficile d'être ami du roi sans être sincère et flatteur. Suite a la morale, La Fontaine veut faire comprendre au lecteur qu'il faut cesser de se comporter comme des Normand, cet à dire d’arrêter d'être économique et s'engager plus.

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