Les caprices de Marianne
Commentaire de texte : Les caprices de Marianne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Acrux 09 • 17 Décembre 2018 • Commentaire de texte • 975 Mots (4 Pages) • 1 632 Vues
Joey DIETERLING P4
Commentaire
Les Caprices de Marianne est une pièce de théâtre créés par Alfred de Musset qui est un dramturge du 19e siècle donc de l'époque romantique, elle paraît en 1833. Dans l’acte 2 scène 1, il y a une longue discution entre Octave et Marianne qui est une jeune femme mariée qui plaide la cause des femmes au 19e siècle. Dans cette scène elle se plaint durant toute la discution d'être victime d'un amour non réciproque envers Ceolio qui l'aime. On peut donc se demander en quoi cette scène s’inscrit-elle dans un mouvement de dénonciation et par qu’elle procédés l’auteur fait-il comprendre au spectateur que la situation doit changer ? Tout d’abord nous débuterons ce commentaire par le sort des femmes au 19ème siècle, ensuite nous verrons en quoi le personnage de Marianne se retrouve t-il dans un dilemme et pour finir en quoi ce même personnage sensibilise-t-il le public à un problème du 19e siècle.
Pour commencer, cette scène l'on va voir en quoi Marianne est un personnage quiu permet de montrer le sort des femmes au 19e siècle ou les femmes n'avait que pour seules buts procréer et être belles ou alors se marier avec un homme d'une famille riche ou qui apportera queelque chose à la famille. Dans cette extrait Musset évoque le sort des femmes sur le mariage. Il le fait notamment par l’intermédiaire de Marianne qui durant toute la scène va subtiliser la parole avec des questions qui pousse le public a se poser des questions tel qu'avec « Mon cher cousin, est-ce que vous ne plaignez pas le sort des femmes ? Voyez un peu ce qu'il m'arrive » en posant cette question Marianne nous met directement dans le sujet abordés dans cette scène et nous fait directement réfléchir, en effet par la suite Marianne nous montre plus précisement le sort des femmes du 19e siècle , «il est décrété par le sort que Coelio m’aime, ou croit m’aimer» cette phrase dites par Marianne nous montre plus clairement le sort des femmes en cette époque, le fait qu’elle dise le « sort » nous montre très bien qu’elle est prisonnière de son sort et que pour elle épouser un homme sans son consentement est un sort et elle plaide contre ca. Les nombreuses questions de Marianne sur le sort des femmes montre que Marianne est consciente de l’injustice dans laquelle elle se trouve et le fait qu’elle n’attende pas de réponse concrète de la part de son cousin accentue ce sentiment « si je me rends, que dira t-on de moi ? N'est ce pas une femme bien abjecte » « si elle refuse au contraire est-il un monstre qui lui soit comparable ? » le fait que toute ses questions soit argumenté par des mots forts tel que « Monstre » ou alors « Abjecte » accentue la chose « ne va-t-on pas la déchirer a belle dents, la montrer du doigts et faire des son nom un refrain d’une chanson a boire » de par cette énumération l'on peut montrer cela parfaitement . Par la suite l'on peut voir ça avec l'intervention d'Octave le cousin de Marianne, qui essaye de calmer sa cousine en lui disant sur un ton un peu énervé : « Cousine cousine, ne vous fâchez pas » cela nous montre bien que les femmes doivent subir cela et ne point se rebeller à ça. De nos jours ceci n'existe presque pu et nous paraît même bizarre mais à l'époque ceci est très banale et de par cette scène Musset dénonce le sort des femmes . De plus dans cette scène l'on ressent de la tristesse pour Marianne qui doit subir sont sort et l'on ressent de la pitié pour elle.
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