LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Les Fleurs du Mal de Baudelaire (1857) Spleen et Idéal – IV «Correspondances »

Commentaire de texte : Les Fleurs du Mal de Baudelaire (1857) Spleen et Idéal – IV «Correspondances ». Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Mars 2022  •  Commentaire de texte  •  479 Mots (2 Pages)  •  351 Vues

Page 1 sur 2

Les Fleurs du Mal de Baudelaire (1857)

Spleen et Idéal – IV

«Correspondances »

Introduction :

présentation œuvre :

contextualisation : 4ème poème des Fleurs du Mal 

« Correspondances » va présenter le poète-mage capable, par son art, de déchiffrer et révéler l’énigme de l’Être.

(LECTURE)

Pb:Comment ce texte illustre à la fois une vision du monde et un art poétique ?

I-l’homme au cœur sacré (vers 1 à 4)

vers 1 :

« Nature »= personnification (majuscule) : c’est une correspondance=suppose un lien entre le règne végétal et le règne animal

« est »= présent d’éternité ( éternité de la « Nature »)

« la Nature est un temple »= métaphore

vers 2 :

Les « piliers » parlent  personnification

Premier terme du poème appartenant au champ lexical du langage ou du sens « confuses paroles »

« confuses paroles » =/= paroles confuses : L’accent est mis ici sur la difficulté à les comprendre, non sur leur confusion qui signifierait qu’elles ne veulent rien dire

vers 3 :

« forêts de symboles » : vocabulaire lié à la « Nature » associé à un terme abstrait évoquant le « sens »

rime qui associe « paroles » et « symboles »

assonance en « o »

vers 4 :

Les symboles « observent » : encore la personnalisation « regards familiers »

Cette présence est si familière que « l’homme » qui « passe » ne la perçoit plus

Le second quatrain explicite la théorie des synesthésies

synesthésie=on pratique la synesthésie lorsque, pour définir une perception, on fait appel à un terme relevant d’un sens différent.

II-la thèse synesthésique (vers 5 à 8)

vers 5 :

Les sensations, donc, « parfums », « couleurs » et « sons » sont

comme de « longs échos »

Assonance en « O » et  « ON »= harmonie imitative : le vers reproduit les « longs échos »

vers 6 :

signature sonore de ce texte « ténébreuse »

vers 7 :

La répétition de « comme » accentue le parallélisme, exprimant l’opposition et la similitude

« Nuit »  « clarté » = incompréhension, aveuglement illumination

vers 8 :

« répondent » rime avec « confondent » et le rappelle

Toujours le son « ON », deux fois

III-illustration des correspondances horizontales et verticales (9 à 14)

vers 9 :

...

Télécharger au format  txt (3.1 Kb)   pdf (38 Kb)   docx (8.3 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com