Lecture comparé V Hugo et Zola
Commentaire de texte : Lecture comparé V Hugo et Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Provence DDF • 9 Avril 2018 • Commentaire de texte • 1 024 Mots (5 Pages) • 810 Vues
Le personnage du roman du XVII à nos jours[pic 1]
Problématique générale :
- Accroche
Mouvement : romantisme, réaliste
- Œuvre
Auteur :
V. Hugo Les Misérables, 1862
Zola, L’assommoir, 1877
Vue globale Roman :
A.
B. Cosette après être montée d’Aix à Paris, elle tombe dans la misère et dans l’alcool
- Extrait
Vue globale extrait :
A. description de la vie de Fantine à travers le cadre… romantisme (même si Hugo fait un peu appel au réalisme)
B. description de la vie de Gervaise à travers le cadre, du Père Bru
Situation extrait : MANQUE LE PASSAGE (LOCALISATION)
Intérêt des textes : montrer la société actuelle, dénoncer la misère
Type de texte : descriptif et narratif
Question : Quelles parties pris les deux auteurs choisissent-ils pour traiter de la pauvreté ?
- Faire le portrait de personnages fictifs
- Leur situation
+sieurs élément sont significatifs de leur situation:
1. Froid : personnification du père Bru à une marmotte « comme une marmotte, s’y mettait en boule, pour avoir moins froid » le rendant ainsi comme un animal qui hiberne l’hiver pour avoir moins froid.
« Pot à beurre à mettre l’eau qui gelait l’hiver » montrant ainsi le froid dans le lieu de vie l’hiver.
Hyperbole « elle toussait beaucoup » montrant la maladie constamment présente en partie à cause du froid.
2. Faim : personnification « la faim trompait son estomac » comparaison des murs aux ventres « les murs sonnaient creux comme des ventres vides » montre le manque de nourriture
3. Fatalité : pas moyens de s’en sortir, pas d’aide « qu’on laissait crever », adjectifs péjoratifs « desséché » « ratatiné » mots forts symbolisant leur situation du relevant de la fatalité
4. Exploitation : « elle cousait 17h par jour » nombre d’heure immense pour un salaire minimal et en chute « fit tout à coup baisser les prix », « aucun repos » le déterminant indéfinis aucun montre ainsi l’absence de temps pour elle, et symbolise totalement l’exploitation.
5. Argent : absence d’argent, ou salaire minimum, pas de travail donc pas la possibilité de manger, donc faim « la journée des ouvrières libres à 9 sous par jour »
=> situation est ainsi révélatrice de leur portrait à travers le froid, la faim, le travail….
- Leur déchéance
la description du cadre est révélatrice de nombreux éléments sur la déchéance:
1. idée de déchéance petit à petit:
rythme crescendo, binaire phrase averbales « dernier signe » “jusqu’à la fin” « fille publique »
2. Misère cadre : accentuation de la misère par des phrases longues la rendant infini,
Le cadre : connotation péjorative faisant allusion à leurs lieux de vie « cellule », « mansarde », « sous le toit », « son trou », « le petit escalier » pas définie comme un logement.
L’exiguïté du lieu : « plafond faisant angle avec le plancher » « se courbait » « petit » « s’y retirait » « en boule » rend les conditions de vie insalubres
Absence de mobilier : champ lexical de l’ameublement « plus de lit » « tas de paille » « chaise dépaillée » vocabulaire péjoratif « galetas » « mansarde » « loque »
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