Le rouge et le noir, Stendhal
Analyse sectorielle : Le rouge et le noir, Stendhal. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ldasilva20 • 15 Mai 2021 • Analyse sectorielle • 860 Mots (4 Pages) • 415 Vues
LE ROUGE ET LE NOIR CHAPITRE 4 LL N
Introduction :
À la fin du chapitre 3 du Rouge et le Noir, le héros du roman, Julien Sorel, n’a pas encore été présenté au lecteur. Celui-ci sait seulement qu’il est le fils d’un charpentier et qu’il étudie le latin pour entrer au séminaire. C’est dans un passage situé au début du chapitre 4 que Julien entre dans le roman. Son père, venu lui annoncer que le maire veut l’engager comme précepteur, le trouve non pas près de la scie hydraulique qu’il devrait surveiller, mais juché sur une poutre, en train de lire. La scène est une confrontation entre le jeune homme et sont père .
En quoi se passage montre des conflits et des oppositions entre julien et son père ?
I) Le père cherche son fils. 1-10
Dans les lignes 1a 2 le père est montré comme quelqu’un de grand, il est associé à la force physique « sa voix de stentor ». Le lieux est indiqué, il est a son usine. Il ne trouve pas julien mais que sont fils aîné, il y a une description de son fils avec « géant » les mots qui suivent nous montre que le fils est fort « lourde hache ». les proposition sont juxtaposé car il appelle sont fils mais personne ne répond. On remarque une forces physique des frères, il travaille avec intention comme le père. Le père est toujours à la recherche du fils, « aurait du » au conditionnelle passé c’est le mode qui montre ce qui n’est pas fais, car julien n’ai pas a ma place ou il aurait du être .
II) le père voit julien. 10 - 19
Le père voit julien en hauteur. La hauteur signifie qu’il s’isole. Le narrateur utilise le mot « antipathique » car il donne son avis . « taille mince » on apprend ici que julien a une taille plutôt svelte ce qui est l’inverse de la description physique de ces frères donné plus haut dans l’extrait. « Peut propre au travaux de force et si différent de celle de ses aînés ». le père n’en veut pas a julien d’être mince. On apprend que julien aime lire et que il le fait souvent, pour le père lire est quelque chose de négatif «mais cette manie de lecture lui était odieuse,il ne savait pas lire lui même » on voit que celui ci ne sais pas lire et il trouve la lecture improductif, pour lui le travaille est plus important. Pour julien la lecture sert a s’évader de son quotidiens, de son milieux familial et se divertir.
II) julien désobéis 19- 50
Julien est plongé dans la lecture de son livre qui le coupe du monde extérieur, bruyant et hostile (« bruit de la scie », « terrible voix »). ca lecture le captive et n’entend donc pas les appelles du père. Cette insistance sur les capacités physiques du père contraste avec l’activité toute intellectuelle du fils. Le père frappe julien d’un coup fort « un coup violent fit voler… » souligne la brutalité aveugle du père. La réaction du père est rapide on peut donc penser que c’est quelque chose d’habituel. Le livre tombe dans le ruisseau après un coup a la tête , il y a pas de retenue et il ne réfléchie pas. Le fils subi et pourrait mourir, le père le retiens se qui monte sa force. Le père ne cherche pas a discuter il condamne le fils. Le père utilise désormais des paroles violentes qui traduisent son mépris à l’égard de son fils (« paresseux ! »), de la lecture (« maudits livres ») et de toute étude (les leçons du curé sont une perte de temps,) .
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