"Le parti pris des choses" de Francis Ponge

En 2eme parti d’épreuve j’ai choisi de présenter Le parti pris des choses de Francis Ponge

Francis Ponge est un célèbre écrivain et poète français, il a écrit au cours de sa vie des poèmes, des essais et des livres. Il était membre de l’académie bavaroise des beaux-arts. Il appartient au XX siècle, période a laquelle se développe le surréalisme, Ponge côtoie des groupes surréalistes mais il n’est pas d’accord avec leur vision de la poésie, il préfère restituer le plu fidèlement les choses.

Le recueil de poème Le parti pris des choses a été édité en 1942 bien que l’auteur ait commencé a le rédigé bien avant. En effet, les 32 poème contenu dans ce recueil ont été écrit entre 1924 et 1939, mais ils seront publier durant la seconde guerre mondiale en 1942. A cette époque, Francis Ponge travaille très dur pour gagner sa vie, c’est pour cela que lorsqu’il rentre chez lui le soir il na que quelque minute pour écrire, ce qui explique le temps de rédaction assez conséquent de ce recueil.

En 1944, le philosophe et écrivain français jean Paul Sartre publie une critique positive sur le recueil de Ponge qui s’intitule « L’homme et les choses » ce qui lui vaudra une certaine renommé auprès de ses lecteurs.

Dans ce recueil, l’auteur réalise la description d’objets simples et banales du quotidien, il établit un rapport entre les mots et les objets, il prête particulièrement attention au détail et présente son œuvre sous la forme d’un dictionnaire.

De plus, cette œuvre a été réalisé entre deux guerre mondiale et prend finalement un tout autre sens, comme si Ponge avait voulu donner le sentiment à ses lecteurs de faire attention à ce qui nous entoure et de voir les objets d’une toute autre façon, et non pas seulement comme des objets sans aucune importances.

Le recueil est objectif, pas de surréalisme ni de subjectivité mais seulement des faits ce qui nous permet de changer notre vision sur l’environnement qui nous entoure. Cette œuvre peut avoir un intérêt pour un lecteur moderne, en effet le poète s’inspire du quotidien et efface toute trace de lyrisme superflue, il ne souhaite mettre en avant seulement la description et uniquement la description.

Dans cette œuvre, mon poème ou plutôt l’extrait du poème que je préfère est sans aucun doute, le feu dans lequel l’auteur démontre la puissance du feu grâce aux personnifications présente dans ces vers tel que « marche ; bondit ; quitte ». Il arrive à transformer le feu qui est une chose inanimée en quelque chose de vivant, en un élément puissant.

Pour finir, cette œuvre peut être mis en parallèle avec d’autre ouvrage tel que la nature morte du peintre suisse Albert Samuel Anker ou encore le pain anthropomorphe réalisé en 1932 par Salvador Dali.

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