Le barbier de séville cas
Cours : Le barbier de séville cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nara TpBot • 10 Mai 2016 • Cours • 792 Mots (4 Pages) • 1 193 Vues
Voici différents thèmes abordés dans la pièce :
• Le Barbier de Séville et les règles du théâtre classique : voir tableau sur les genres de pièces et evolution selon les siècles.
• L’amour dans la comédie et le rôle de la musique
Loin des débats religieux ou politiques qui alimentent la tragédie, la comédie repose souvent sur des problématiques amoureuses (voir les deux textes complémentaires Molière, Marivaux).
La musique est une des grandes spécificités des comédies de Beaumarchais. Ecoute d’un air opéra tiré du Barbier de Séville Extrait de l’opéra de Rossini, Le Barbier de Séville : « Largo al factotum», Peter Mattei (Figaro) Metropolitan Opera, mise en scène de Maurizio Benini (2006), mais aussi sur l’étude de l’image proposée dans le livre de l’élève (p. 205) qui permet d’associer le thème de l’amour à celui de la musique. Dans le texte, la musique a le plus souvent partie liée à l’amour.
• Approche du comique
On peut effectuer une synthèse sur les procédés comiques et les marques du genre. On peut s’appuyer sur l’édition (p. 186 et suivantes) : les différentes formes de comique (comique de gestes, comique de mots, comique de situation, comique de caractère). La partie du livre de l’édition consacrée à « l’œuvre dans un genre » peut aussi permettre de faire le point sur les genres de comédies et sur ce dont hérite Beaumarchais. Voir les textes complémentaires de Pommeau et Feydeau. L’étude de la réception de l’œuvre au XVIIIe siècle (p. 158 du livre de l’élève) peut aussi s’inscrire dans cette séance sur le comique.
• Les Lumières, mots d’esprit et dénonciation
La transition entre cette partie de la séquence, qui porte sur « une comédie des Lumières », et la partie précédente, centrée sur « la comédie », peut se faire grâce à la musique. En effet, le goût du mélange des arts et le désir d’un spectacle total se sont particulièrement développés au XVIIIe siècle, ce qui explique le succès de l’Opéra-Comique. Elle peut aussi se faire à partir de l’étude du registre comique puisque l’ironie, emblématique des Lumières, a partie liée au comique. L’ironie peut aussi être le support d’une transition : de l’ironie comme procédé comique à l’ironie emblématique des Lumières.
On peut commencer l’étude des Lumières à partir des informations présentées dans le
livre de l’élève (p. 147 et sq.). Le contexte politique, social et surtout culturel de la pièce est alors développé. Pour l’étude, on s’appuiera sur la partie concernant l’argumentation dans l’œuvre (p. 195). Les revendications sociales et la satire de la justice peuvent être les deux points développés. On peut acquérir une perception claire de l’image de la société d’Ancien Régime transmise par le texte grâce, notamment, à la portée de la pièce. Dans le livre de l’élève, la partie sur la réception de l’œuvre au XXe siècle (p. 161) ainsi que les textes critiques 1 et 2 (p. 200) peuvent servir.
Il est aussi possible de s’intéresser aux Lumières à partir de La Lettre modérée.
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