La princesse de Cleves
Fiche de lecture : La princesse de Cleves. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar margaux-toson • 7 Janvier 2022 • Fiche de lecture • 501 Mots (3 Pages) • 361 Vues
Étude linéaire : « La princesse de Clèves » : texte 1
Présentation : « La princesse de Clèves » est un roman classique publié anonymement par Mme de la Fayette. C’est un roman composé de 4 parties autour du parcours tragique d’un personnage féminin, jeune et noble, à la cour des Valois et sur une durée principale d’un an.
Ce passage se trouve dans la 1ère partie après le long incipit qui présente les personnages réels et historique de la cour d’Henri II. L’arrivée de ce personnage est l’élément perturbateur de ce récit.
Problématique : Comment le narrateur fait-il le portrait du personnage principal à la cour ?
1er mouvement : récit et portrait
Composé de 3 phrases :
-1ère phrase :
récit de l’arrivée avec 3 verbes au passé simple
-« parut » : verbe de mouvement
-« attira » : verbe de mouvement et de perception
-« donna » : verbe d’action
Il y a un champ lexical de la vue
Un mouvement physique, visuel puis moral
Arrivée en 3 temps entre 2 groupes déséquilibrés : 1 personnage seul hyperbolique et un ensemble noble
-2ème et 3 ème phrase :
portrait social qui insiste sur le rang social et le lien familiale avec une hyperbole : « extraordinaire »
passage d’1 personnage féminin à deux personnages masculins puis 1 personnage féminin : chiasme familiale et omniprésence féminine
Cette omniprésence féminine met en avant un paradoxe en raison de l’absence masculine
Le phrase de termine sur le portrait moral mélioratif amplifie le rythme ternaire et l’hyperbole
Un 1er mouvement pris en charge par un narrateur omniscient qui contrôle le récit. Il arrête ce récit sans véritablement commencer à developper le portrait
2ème mouvement : le retour en arrière et le portrait moral de la mère
Ce mouvement est composé d’un retour en arrière sur l’éducation morale qu’à donner la mère à sa fille
Le personnage maternel omniscient, sujet de tous les verbes qui sont
d’abord au plus-que-parfait qui marque l’antériorité
Puis au passé simple
Et ensuite a l’imparfait jusqu’au bout du mouvement
Un temps long, construit et pensé par la mère
Une éducation originale prise en charge par la mère, la fille devient secondaire
Une éducation unique liée a 2 facteurs : double négation (« perdue » « sans revenir »)
Une femme majeure, veuve, libre et indépendante qui choisit
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