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La princesse de Cléves

Dissertation : La princesse de Cléves. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Février 2022  •  Dissertation  •  1 188 Mots (5 Pages)  •  700 Vues

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Intro :

        A travers leurs œuvres, les écrivains poursuivent une réflexion sur les passions humaines, notamment lorsque ces passions entrent en conflit avec les valeurs de la morale et de la religion, qui ont souvent le rôle de structure dans la société. Ainsi pensez-vous que les passions soit condamnables ? On définit communément « les passions » comme des sentiments intense et irraisonné qui domine une personne, ainsi la vraie question a se poser est ; pouvons-nous condamner un Homme sous l’emprise de la passion ? nous pouvons dès lors nous demander si il est possible de condamner les passions à partir d’un roman en faisant l’analyse ? pour répondre a cette question nous verrons que les passion sont condamnable. Puis nous étudierons le fait que non on ne peut pas condamner les passions. Enfin un dernier instant nous permettra de voire qu’il faut dépasser l’opposition.

I I les passions sont condamnables

         La passion en elle-même est un abandon de sois même et donc une perte de contrôle, qui peut amener à des conduites incohérentes, en dépit des valeurs de l’époque. Par exemple l’amour du roi pour la duchesse de valentinois qui est tout sauf un exemple de vertu et de fidélité. De plus elle peut pousser à commettre des crimes tel le vol du portrait de la princesse par M de Nemours ou encor son introduction illégale dans la résidence de campagne de Mme de Clève. Mais aussi les passions sont malheureusement bien souvent accompagnées de la jalousie, limite maladive dans certain cas, comme celui du prince de Clève qui vas jusqu’à engager un espion pour surveiller les deux amants. En effet les passions sont des sentiments intenses qui peuvent détruire un Homme lors quelle sont brisées. Tel que Sancerre qui est doublement détruit lors que premièrement il apprend la mort de Mme de Tournon, puis sa tromperie avec M. d’Estouville. Si certain en son détruit, d’autre en meure, comme le prince de Clève qui est pris d’une violente fièvre après l’annonce de la passion de Mme de Clève pour M de Nemours. La morale de l’époque était catégorique, tout tromperie est illégale, sauf que comme vue plus tôt les passions sont incontrôlables et donc peuvent amener à s’isoler pour éviter la tentation. Mais ne plus voire la personne que l’on aime peut aussi faire male, comme la princesse de Clève qui s’isole à sa maison de Coulommiers mais qui regret de ne plus voire M de Nemours. Ainsi les passions n’apporte que du négatif, de la tristesse, de la jalousie et même la mort, c’est pourquoi les passions doivent être condamner, pour le bien des Homme. Mais quand est-il du contrôle, pouvons nous contrôler nos émotion ?

 

(II)

Les passions ne sont pas condamnables car elles sont intrinsèques à notre nature et

peuvent apporter nous apporter beaucoup.

D’abord La passion est inaliénable de l’homme, c’est une chose naturelle. Car toute l’humanité est sujette aux désirs et plaisirs de la passion. Car même lorsque Mme de Chartes met ça fille en garde sur les dangers de l’amour elle « lui montrait ce qu’il a d’agréable » (p.30). Ce qui montre que malgré sa vision pessimiste de la passion elle évoque quand même son côté plaisant. Les Rois aussi sont sous l’influence de la passion comme le montre Henry II qui entretient une liaison avec la duchesse de Valentinois malgré son mariage avec la Reine. Cela montre que même les personnes les plus élevées dans la société sont sujettes auxpassions. Ensuite, Dans le roman, la passion permet de devenir mature. Cette maturité est accompagnée d’une meilleure connaissance de soi-même et par la compréhension de certaines choses. Cela est le cas pour la Princesse de Clèves où la passion envers M. de Nemours provoquera chez la Princesse une évolution. Cette évolution, visible dans les soliloques, se caractérise tout d’abord par l’assimilation des enseignements de sa mère sur les dangers des passions, mais aussi par la compréhension de la difficulté de sa situation et ses enjeux qui sont la vertu et le repos. Ainsi, la Princesse de Clèves est plus à même de prendre des décisions, de comprendre ses sentiments ainsi qu’elle-même. Donc la passion fait partie intégrante de l’homme et participe à son développement. Mais si les passions sont essentielles pour l’homme tout en étant dangereuses, ne serait-il pas mieux de nuancer cette vision manichéenne ?

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