La Planète des Singes
Commentaire d'oeuvre : La Planète des Singes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar wxcvcdxvxc • 1 Avril 2020 • Commentaire d'oeuvre • 327 Mots (2 Pages) • 1 074 Vues
L’œuvre que j’ai choisie est La Planète des Singes de Pierre Boulle. Cette œuvre de science-fiction met en scène le voyage dans l’espace de trois personnages : le professeur Antelle, un savant chargé de diriger l’opération, Arthur Levain, l’assisstant du professeur Antelle et enfin Ulysse Mérou, journaliste et personnage principal de cette histoire. Cette œuvre est en réalité constituée d’un récit cadre et d’un récit enchâssé, même si le récit encadré est le plus important. Ce récit enchâssé raconte l’histoire des personnages cités auparavant dans leur rencontre avec l’inconnu. En effet ils vont, lors de l’exploration spatiale découvrir une planète habitée par des Singes intelligents. A l’inverse, les Hommes, aussi présents sur cette planète, sont sauvages et habitent dans la jungle. Très vite, le lecteur va pouvoir se rendre compte de la situation de la planète, où les singes traitent les Hommes comme nous traitons les singes sur notre planète. Séparé de ses compagnons, mis en cage puis libéré non sans peine, Ulysse le personnage princpal va tout mettre en œuvre pour retourner chez lui. C’est après de nombreuses mésaventures et la perte de tous ses compagnons, qu’il va finir par retourner sur Terre avec Nova, une native, et découvrir que 800 ans ont passés et que les singes ont pris le dessus, comme sur la planète d’où il vient.
J’ai beaucoup aimé cette œuvre pour plusieurs raisons. Tou d’abord, pour une raison personnelle : mon goût pour la science-fiction. Ensuite pour la manière dont l’auteur a réussi à me faire réfléchir sur des questions bien plus profondes voire philisophiques à travers l’œuvre et surtout à la fin. En effet, je trouve la fin très efficace. Elle laisse au lecteur le loisir de se poser beaucoup de questions comme à savoir si cette histoire est plausible. Etant une œuvre contemporaine, elle permet au lecteur de mieux se projeter dans l’histoire et même d’imaginer une suite, ce qui, je trouve, est signe d’une appréciation toute particulière de l’oeuvre.
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