La Controverse de Valladolid

La Controverse de Valladolid

• La controverse a lieu en 1550, en Espagne à Valladolid. Ce sont les espagnols qui en font la demandent pour savoir si les indiens leurs sont égaux ou inférieurs, si ils peuvent être traités comme des esclaves.
• Bartholomé de Las Casas, un prêtre, lui défens la théorie que les indiens sont des êtres comme les espagnols et possèdent des âmes. Et le chanoine de Cordoue, Juan Gines de Sépulvéda, le meilleur helléniste et grand commentateur d’Aristote, dit que ces indiens ne sont pas des descendant d’Adam et Eve, et contredit donc la thèse de Bartholomé.  
•  « si ces indigènes sont des êtres humains achevés et véritables, des créatures de Dieu et nos frères dans la descendance d’Adam. Ou si au contraire, comme on l’a soutenu, ils sont des êtres d’une catégorie distincte, ou même les sujets de l’empire du diable » et « Nous devons nous décider sur la nature et la cruauté de ces indigènes » sont les paroles du légat du pape énonçant clairement le sujet du débat.
• Las Casas utilise des figures de style pour accentuer le fait que les espagnoles traitent les indiens comme des animaux : « Aussi les malheureux Indiens sont-ils traités depuis le début comme des animaux privés de raisons » (p26).  Il utilise une intonation forte et fais une accumulation du mot « millions » « Oui par millions ! Comme des bêtes à l’abattoir ! Et je n’y vois pas de quoi rire ! ». (p27) Il parle même au nom du Christ, utilisant la religion pour montrer que ce que font les espagnols aux Indiens sont horribles.
• Il cherche à persuader car il prend la personne par les sentiments.
• Las Casas complimente les indigènes, il dit qu’ils sont généreux, beaux, qu’ils possèdent une honnêteté incomparable. Il dit que les indigènes avaient tellement peur que les espagnols s’en prennent à leurs enfants, que les mères tuaient leurs bébés pour ne pas qu’ils aient à vivre cette atrocité.
• Sepulveda justifie la conquête espagnole en disant que ces indiens méritaient leur sort car leurs péchés sont une offense à Dieu.
• Las Casas dit que les Indiens surnomment les espagnoles « démons » car pour eux ils viennent de l’enfer, ils possèdent le diable, donc si les espagnoles sont catholiques, les indiens pensent donc que cela ne fait pas partit du bien.
• Sepulveda dit  que Las Casas a étaient même jusqu’à mentir sur les propos religieux des Indiens, qu’ils sacrifiaient des milliers de victimes, Sepulveda dit que les indigènes tuaient et mangeaient les espagnoles, qu’ils dansaient avec leurs chères sur eux, qu’ils sont des sauvages féroces et qu’ils mentent est l’argument qui contredit le portrait idyllique des Indiens.
• Sepulveda affirme que les indiens n’ont jamais su inventer quelque chose, ils ont tout simplement recopié les gestes des espagnols est l’argument qui justifie leur esclavage.
• Sepulveda donne aux Indiens un portrait de sauvage, d’ignorant et de personnes salles, qu’ils se nourrissent de choses infâmes.
• Las Casas oppose Sepulveda en disant que les espagnols aussi étaient naïf, qu’ils cherchaient des choses absurdes, qu’ils ont aussi étaient ignorant et que Sepulveda critique leur nourriture mais il n’y a jamais goûté.
• Las Casas montre que les Indiens sont au moins les égaux des Espagnols en disant : « On ne peut pas comparer ce qui ne se compare pas ! » (p. 61).
• Las Casas dit que les fils des princes aztèques reçoivent la même éducation que les Espagnols, qu’ils possèdent les mêmes coutumes et que ce sont de vrais artistes, qu’ils arrivent a créer de très belles choses avec de simples matériels.
•  Sepulveda ramène cette sculpture car il veut démontrer que Las Casas a faux, que leurs création sont laides, que les Indiens se prosternent devant une sculpture de monstre, qu’ils ne possèdent donc aucuns talents pour ceci.
•  Le légat du pape a ramené une famille Indienne avec le père, la mère et l’enfant venant du Mexique, pour travailler sur les sujets, et voir comment ils se comportent, voir s’ils sont différent ou non.
• Les protagonistes de la dispute en viennent à tester cette famille. Ils s’emparent du petit enfant pour voir la réaction de ses parents en le menaçant, et tous deux réagir, en essayant de reprendre le petit enfant. Ils ont fait ça pour voir si les parents étaient protecteur, voir leurs gestes, leurs réactions pour comprendre qui ils sont.
• Le légat du pape fait intervenir un bouffon dans le but d’essayer de faire rire les Indiens, voir si le rire existe chez eux, si ils sont comme els Espagnols.
• L’expérience n’est pas concluante pour l’intervention du bouffon, les Indiens ne comprennent pas, ils ne sont pas vraiment en situation de pouvoir rire car ils sont effrayés. Mais lorsque le cardinal est tombé quelques minutes après l’intervention, les Indiens ont lâché un sourire.
• Las Casas réclame de reconnaître les Indiens comme leurs frères, de leurs rendre leur liberté première et que les Espagnols se retirent des Nouvelles terres.
• Sepulveda utilise la citation de Saint Augustin : «La perte d’une seule âme non munie du baptême, a dit saint Augustin, est un malheur plus grand que la mort d’innombrables victimes, même innocentes. »
• Le colon intervient dans le débat, il dit que s’ils acceptent les Indiens, il faudra payer, leurs donner beaucoup d’argent, les aider car ils sont faible de corps, et meurent de maladies légère ce qui leur reviendraient encore plus chère pour les Espagnols.
• Le légat du pape choisit le fait d’accepter et de rendre la liberté aux Indiens, de les aider.
• Dans la dernière didascalie, nous voyons bien que le serviteur noir fait le ménage, et Las Casas le regarde plusieurs fois comme si il avait pitié de lui aussi.

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