La Bruyère / les livres V à X.

Cela concerne uniquement les livres V à X.

Livre V : De la société et de la conversation

- L’art d’être en société

- La Bruyère dresse le portrait de personnages contraires aux valeurs de civilité, de politesse et d’honnêteté.

Ils sont vaniteux, égocentriques et ne pensent qu’à eux. La société s’apparente à une vaste comédie. Les hommes se comportent comme des acteurs. Ils sont attentifs à leur costume, leurs manières et leurs discours. La Bruyère souligne leurs efforts vaniteux pour se donner en spectacle. La Bruyère souligne un défaut qui s’appelle l’affectation : attitude qui manque de naturel et de sincérité. Les gestes sont joués voir surjouées et cela devient ridicule.

Livres VI : Des biens de fortune

- Rôle de l’argent

- Créer des différences de fortune qui ne reposent pas sur le mérite

Livres VII : De la ville

- La ville est comme un théâtre

- Les hommes sont reliés les uns aux autres par le regard. Le « regard », instrument de comparaison, de malveillance et de moquerie.

Influence néfaste de la richesse sur la vie des hommes. La Bruyère montre la fragilité des situations. Ascension fulgurante des parvenus et revers de fortune encouru par les riches.

Livre VIII : De la cour

- Tableau satirique de la cour de Louis XIV

- Société superficielle soumise au culte des apparences

Livre IX : Des Grands

- La Bruyère brosse le portrait des hommes de la haute noblesse (hommes orgueilleux, vaniteux, imprévisible et corrompus).

- L’auteur montre que le rang social n’est pas toujours synonyme de mérite.

Livre X : Du Souverain ou de la République

- Critique la guerre

- Adresse des conseils aux dirigeants et aux rois

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