L'objet entre plaisir et addiction

L’objet, entre plaisir et addiction

Depuis la création du premier outil par l’homme, les objets sont omniprésents dans notre société et même si l’on en possède beaucoup, on continue de consommer pour diverses raisons. En effet, dans les documents qui nous sont présentés, plusieurs idées nous sont exposées partant du plaisir à l’addiction. Le premier document est l’article « La fièvre acheteuse » d’A. Weinberg, publié dans Les grands dossiers des Sciences Humaines en 2011, qui décrit les troubles psychologiques de l’addiction aux achats et prend l’exemple de Corinne qui est une acheteuse compulsive. Le second document intitulé « De la servitude volontaire » est un article de P. Nassif paru en octobre 2013 dans Philosophe magasine qui reprend les propos de C. Fleury et M. Rueff qui parle de l’emprise que les téléphones portables ont sur nous. Le troisième document « La voiture du peuple et le sac Vuitton, L’imaginaire des objets » de E. Charrin publié en 2013 dans les éditions la Librairie Arthème Fayard reflète la richesse et la puissance de ceux qui achètent des objets de luxe. Le plaisir en possession de l’objet est illustré dans le dernier document qui est une photographie d’une famille autour d’une tablette. On se demande donc dans quelle mesure l’objet influence-t-il la réalité de notre quotidien. Pour répondre à cette problématique, nous verrons tout d’abord le plaisir engendré par l’acquisition d’un objet puis les limites et les conséquences de celui-ci sur le plan humain.

L’acquisition d’un nouvel objet engendre un plaisir immédiat qui dure plus ou moins dans le temps en fonction de la personne qui acquiert l’objet. E. Charrin nous explique à travers son document d’où vient ce plaisir et comment il est interprété. Cette idée est renforcée par l’article de A. Weinberg et par la photographie qui constitue le quatrième document. En effet, celle-ci représente une famille qui semble captivée par quelque chose sur la tablette ce qui nous laisse à penser que les membres de la famille vont échanger autour de ce sujet et qu’une conversation va être créée. Dans cette situation, l’objet serait source de plaisir et de partage et serait propice à un véritable lien social.

Comme expliqué dans le premier document, l’les troubles de la consommation existent bel et bien. Ce dernier nous présente Corinne, une consommatrice compulsive, prise d’envies impulsives et incontrôlables qui la pousse à surconsommer.

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