Fausse argumentation
Compte rendu : Fausse argumentation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar F013319211 • 11 Octobre 2020 • Compte rendu • 371 Mots (2 Pages) • 500 Vues
Dans cette argumentation, nous allons voir un héro qui assiste a sa déchéance sans rien pouvoir faire.
Médée est une pièce de théâtre écrit par pierre corneille, un dramaturge classique du 17emme siècle.
Médée est une tragédie en cinq actes, représentée pour la première fois en 1635.La piece se situe à Corinthe
Quels éléments montrent que Jason est un héro tragique et libertin?
Dans un premier temps, nous verrons en quoi Jason est un héro libertin puis nous démonterons pourquoi il s’agit d’un héro tragique
Pour commencer, on peut dire que Jason est un héro libertin car il change de femmes plusieurs fois aux grés de ses envies et de ses progrès personnel. Par exemple, il dit : « J'accommode ma flamme au bien de mes affaires » (l 30 scène d’exposition).
Ensuite, Jason est un héro tragique car il perd tous ce qu’il a de plus chère a commencer par ses enfant puis par sa fiancé et son futur beau père pour se suicider de chagrin. En effet, ses enfants sont tués sous ses yeux, sa fiancer est bruler tandis que son futur beau père se fait aussi bruler puis il se suicide.
De plus, Jason étant né avec du sang noble est ayant de la vertu, a tout les trait pour être caractérise de héro cornélien et donc puisque le héro cornélien est un héro tragique il peut être qualifie de héro tragique. En effet il est fils du roi d’Lolcos en Thessalie il possède donc la première caractéristique du héro cornélien
IL est aussi un héro tragique car il assiste à sa propre déchéance sans rien pouvoir faire notamment lorsque creuse meurt on peut donc lui attribuer le rôle de spectateur. En effet, durant tout l’acte 4 scène 5 il assiste a la mort de creuse sans rien tente.
On peut dire que Jason est un héro tragique et libertin car il a du sang noble (fils du roi d’Lolcos), car il a changé plusieurs fois de femmes, car il est spectateur de sa déchéance et car il a perdu tout se qu’il avait de plus chere
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