Etude linéaire“Le Cygne Section : Tableau Parisien de Baudelaire
Commentaire de texte : Etude linéaire“Le Cygne Section : Tableau Parisien de Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar _Wood_ 13 • 22 Juin 2022 • Commentaire de texte • 870 Mots (4 Pages) • 365 Vues
“Le Cygne” (partie 1) p.136-137
Section : Tableau Parisien
Mouvement 1 : (les trois premiers quatrains) : Paris et ses changements
Mouvement 2 : (quatrième quatrain ) : Quatrain de transition
Mouvement 3 : (Les trois derniers quatrains) : Le Cygne
Problématique : Comment cette ennemi qu’est le spleen amène-t-il à la création de fleurs poétiques nouvelles ?
Comment Baudelaire utilise-t-il se tableau parisien pour définir sa condition de poète ?
Mouvement 1 : (les trois premiers quatrains) : Paris et ses changements
Premier quatrain :
Dès le début le poète pose le thème de l’exil avec Andromaque qui est une figure type de l’exilé
Le poète est lié à la notion d’exil
Petit s’oppose à immense, pauvre et triste s’opposent à resplendit
Le mot menteur au v.4 qui se trouve à la césure qui est mis en valeur car il est placé à la césure
Tout cela l’immense nostalgie de l’exilé qui à perdu de sa superbe (grandeur)
On parle de nostalgie lourde qui mène à la douleur, un sentiment fort de l’exil.
Second quatrain :
Par association d’idées on quitte l’imaginaire pour tomber dans le monde réel par le biais de l’eau, on sait qu’elle est importante notamment dans l’eau ou elle est positive, ici le fleuve mythologique féconde le passage du 1er au 2nd quatrains.
Opposition entre nouveau et vieux (nouveau paris vs ancien).
Paris entre en poésie mais c’est le paris moderne qui est mis en valeur avec les travaux hausmaniens.
Le nouveau et l’ancien paris son diamétralement opposés. “Nouveau” et “Vieux”
v.7-8 L’ancien paris est personnalisé : comparaison avec le mortel, “n’est plus”.
Au v.7 on a une lamentation placé à la césure pour le mettre en valeur, c’est bien la plainte du poète, ici la nostalgie est semblable à la douleur.
Troisième quatrain :
Le troisième quatrain est l’arrivé de Trivialité (grossier) , du prosaïsme (terre à terre), du banal. Avec les travaux. C’est la boue avec laquelle il vas travailler pour créé l’alchimie.
On a vraiment un effet d’accumulation d’objets variés, un effet qui vas être parfaitement résumé avec le mot “confus” la afin de la strophe.
On a des gros blocs nominaux qui font références à des hauteurs différentes, les chapiteaux du v.10 qui s’opposent à l’herbe du v.11
On a un vocabulaire qui évoque la confusion et la laideur : tas, ébauchés, verdis, bric-à-brac.
On a tout un jeu avec les allitérations en “R” pour rappeler les travaux : baraques, herbes, gros, verdisse brillants, carreaux, bric-à-brac
Et les assonances en “O” et en “A” peuvent
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