Est un extrait des Confessions de Jean Jacques Rousseau, auteur et philosophe du 18ème siècle
Commentaire de texte : Est un extrait des Confessions de Jean Jacques Rousseau, auteur et philosophe du 18ème siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar BIBIBS • 29 Mai 2016 • Commentaire de texte • 329 Mots (2 Pages) • 1 294 Vues
Le texte présenté est un extrait des Confessions de Jean Jacques Rousseau, auteur et philosophe du 18ème siècle appartenant au mouvement des Lumières. Rousseau est connu pour sa philosophie qui veut que l'Homme naît au départ bon et pure, mais que plus tard la société le corrompt. Il le démontre d'ailleurs dans cet extrait des Confessions (qui est une autobiographie ) où pendant le déménagement de ses maîtres, il décide de voler un vieux ruban, qu'il pensait qui ne passerait inaperçu. Néanmoins, il se fait prendre et au lieu de se dénoncer il fait accuser une domestique, Marion, jeune fille innocente qui ne lui a jamais fait aucun mal.
(Lire le texte)
Rousseau commence par nous décrire son forfait puis Marion, qu'il qualifiera durant tout le texte d'innocente et angélique jeune fille. Il poursuit ensuite avec l'accusation en elle même, ce passage du texte est d'ailleurs décrit comme une cour de justice (« l'assemblée était nombreuse ») . Il décrit ensuite les personnages de façon tranchée : Marion est décrite comme la victime angélique et innocente, il la qualifie de « pauvre fille » et son audace d' « angélique », il la décrit comme si elle avait toutes les vertus. Par contre, Rousseau se décrit lui même de façon totalement opposé, comme un être démoniaque avec une « impudence infernale » et avec « un barbare cœur » qui résiste à un regard de Marion qui aurait « désarmé les démons »
Le comte de la Roque finit donc par croire Rousseau et Marion est donc renvoyer, Rousseau nous décrit ensuite ses remords insurmontable d'avoir probablement envoyé Marion à la rue.
Néanmoins, malgré l'insurmontabilité de ses remords, il semble blâmer la société, ses maîtres et même Marion elle même du fait qu'elle ne se soit pas défendu. Si Marion se retrouve à la rue, ce n'est pas entièrement sa faute, mais celle de ses maîtres et de Marion elle même.
En quelque sorte, la société a encourager son acte malveillant.
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