Dissertation critique
Dissertation : Dissertation critique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar AGUERO123 • 30 Septembre 2021 • Dissertation • 539 Mots (3 Pages) • 475 Vues
INTRODUCTION
En 1996, l’écrivain québécois Gilles Archambault publie le roman Un homme plein d’enfance. Dans l’extrait a l’étude on retrouve le personnage principal qui vit les moments difficiles de la vieillesse. Deux années plus tard, l’écrivaine Abla Farhoud québécoise publie en 1998 le roman le bonheur à la queue glissante, quelle aborde le même thème. On peut alors se demander si la vieillesse est vécue de façon similaire par les personnages dans ces deux extraits ? Dun cote, on peut penser que la vieillesse est vécue de façon différente par les personnages (PV), car ils n’ont pas le même état de santé (AP). Dun autre cote, on peut dire que la vieillesse est vécue de façon similaire par les personnages (PV), car dans les deux cas il est question de la crainte de vieillesse (AP). En définitive, on peut dire que la vieillesse est vécue de façon différente par les personnages (PV), car ils ne vivent pas la même situation (AP).
Première vue, on peut penser que la vieillesse est vécue de façon différente par les personnages (PV), car ils n’ont pas le même état de santé (AP). (AS1) Dans le premier texte, le personnage1 est toujours dans un état de convalescence. (PR) quand il dit : « A son âge, on ne guérit jamais. Il a suffi qu’il marche à pas plus que lents de la chambre à coucher a la cuisine pour que la douleur familière réapparaisse » (L 24,25). (EXP) Dans ce passage, la négation «ne »
(AS2) Dans le deuxième texte, le personnage 2 est en pleine en forme. (PR) quand elle dit : « Je suis en bonne santé, grâce à Dieu, je peux encore aller et venir et faire à manger. ** (L 45,46). (PR) Ici, l’accumulation de ces verbe « ALLER » « VENIR » « FAIRE» nous montre sa grande énergie. (EXP)
Toutefois, on peut dire que la vieillesse est vécue de façon similaire par les personnages (PV), car dans les deux cas il est question de la crainte de vieillesse (AP). (AS1) Dans le premier texte, le personnage1 étant jeune à développer une haine pour la vieillesse. (PR) L’auteur décrit latitude de Raoul Dupré : « la vieillesse a toujours paru un état haïssable à Raoul Dupré. Jeune, il trouvait insignifiant les vieillards que la vie l’obligeait à affronter » (L.1,2). (EXP)
(AS2) Dans le deuxième texte, le personnage2 a la certitude quelle vieillira. (PR) quand elle se pose la question : « Pourquoi men faire avant le temps ? » (l.47-48). (EXP) Dans ce passage, la phrase d’interrogation révèle son inquiétude de la vieillesse.
Malgré tout, on peut dire que la vieillesse est vécue de façon différente par les personnages (PV), car ils ne vivent pas la même situation (AP). (AS1) Dans le premier texte, le personnage vie la période de la vieillesse. (PR) « Il se trouve un peu mesquin de ne pas avoir fait l'effort d'assister à la réception. Un tout petit effort, au fond. Claude l'aurait aidé à monter dans la voiture. Toutes trop basses, les autos actuelles, mais enfin ! Claude est patient, il l'aurait soutenu, l'aurait poussé doucement vers le fond de la banquette. Comme s'il était un vase précieux. « Comme une urne chinoise »
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