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Discussion laville

Discours : Discussion laville. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  27 Octobre 2015  •  Discours  •  530 Mots (3 Pages)  •  722 Vues

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Devoir N°1 Français.

Sujet : « Montrer que la ville peut-être à la fois un objet de « fascination » et de « déception ». Appuyez vos réflexions sur votre expérience personnelles et vos lectures. »

Les débats qui opposent les villes aux villages sont éternels. La ville a souvent été soumise à la critique, et ce depuis les cités grecques antiques. Elle a toujours suscité fascination et déception, étant le sujet d’œuvres en littérature, musique, ou cinéma et désormais la médiatisation en masse ainsi que le tourisme. Nous allons évoquer d’abord ce qui engendre cette fascination, et dans un second temps de quelle façon elle peut décevoir.

Premièrement, le propre de des grandes villes est la culture. Elle est bien souvent le miroir d’un pays, dont les informations et images sont véhiculées partout dans le monde. De par architecture, ses monuments mais encore par sa grandeur  la ville attire. C’est aussi un pôle très important pour l’éducation où sont regroupées les grandes écoles, universités, centres de formation ainsi que de loisirs et d’arts. Des grands centres culturels qui unissent muséums, salles de concerts et de cinéma, des salles d’expositions importantes, théâtres,  bibliothèques, sans compter sur les artistes de rue qui fleurissent dans beaucoup de grandes villes, accentuent l’intérêt de la ville. Parfois son histoire où celle du pays plus globalement est captivante, suivant les atouts recherchés, l’ancienneté d’une ville ou au contraire sa nouveauté, ville musée où émergée d’un désert, il serait difficile de ne pas y trouver l’objet de sa recherche.

Aussi, les grandes villes regorgent d’activités économiques, les commerces et les industries y sont nombreuses générant de nombreux emplois pour tous les niveaux de qualification, multiplie les logements, développe les industries et le progrès et renforce donc la proximité qui est un avantage considérable. Il est donc possible de se rendre au travail par les transports en commun, dont l’amplitude est élevée contrairement aux villages et la rend accessible rapidement. Il est possible de choisir le type de cuisine que l’on souhaite dans l’instant grâce aux restaurants très variés, et pratiquer un loisir ou divertissement quel qu’il soit , le soir en sortant du travail car la ville offre cette diversité avec des horaires  pouvant correspondre à la majorité.

Aussi, la ville reste un lieu d’échange et de communication, où il s’avère facile de créer des liens. Ecoles, travail, et dans un contexte de loisir : sportif, associatif, créatif où religieux, aux cours collectifs extrascolaire et extraprofessionnel  qui réunit par une passions partagée et facilite le contact. A tous moments de la journée rassemblés, entourés. Volontairement où non, la ville est un lieu propice à la rencontre et à la création de liens qu’ils soient professionnels, amicaux où amoureux. Ces rencontres sont favorisés ces dernières années par le développement d’endroits et pratiques collectives telles que les « open spaces », espaces de travail commun ouvert où le contact avec ses collègues est facile, le covoiturage, qui permet de se rendre sur son lieux de travail de manière plus écologique et économique, et bien-sûr la colocation, partager un appartement avec un ami est devenu un pratique très courante dans les grandes villes, pour des raisons économique où relationnelles.

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