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De corpus : La poésie amoureuse n’est-elle pas qu’évocation de la souffrance ?

TD : De corpus : La poésie amoureuse n’est-elle pas qu’évocation de la souffrance ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Décembre 2015  •  TD  •  439 Mots (2 Pages)  •  1 356 Vues

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Français :

Question de corpus : La poésie amoureuse n’est-elle pas qu’évocation de la souffrance ?

        A travers ce corpus Paul Verlaine, Louise Labé et jean Cocteau nous présente leurs malheurs lorsque l’amour est présent. Tout d’abord Louise Labé avec « Je vis, je meurs » au XVIème siècle puis Paul Verlaine avec « Mon rêve familier » au XIXème siècle et enfin Jean Cocteau avec « Plain-chant » au XXème siècle, trois auteur distant temporellement mais proche littérairement. Sur ce Corpus nous aborderons donc le thème de la souffrance dans la poésie amoureuse.

        En premier lieu on distingue trois textes exprimant la souffrance par rapport à l’amour a des degrés différents le premier et le troisième sont particulièrement triste : « je brule et me noie » pour le premier ; «souffler jusqu’à ma mort »,  contrairement au deuxième qui lui l’est beaucoup moins car il parle d’un rêve et non d’une réalité. On voit donc que le texte 2se distinguent des deux autres car il parle d’un amour réciproque explicite : « D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime ».

        D’autre part, Ces poèmes se ressemble pourtant ils ne sont pas issues des mêmes époques et n’ont donc pas les même courant littéraire le texte 1 datant du XVIème siècle il appartient à la pléiade pour le texte datant lui du XIXème lui appartenant au courant symbolisme et enfin le dernier datant lui du XXème siècle et appartenant au courant surréalisme. Puis au niveau de la description on distingue la aussi trois différents types d’abord Louise Labé qui n’a pas vraiment de destinataire qui parle d’amour mais envers personne, ensuite Jean Cocteau ne nous décris toujours pas une personne définie mais il emploie le tutoiement synonyme de connaissance de la personne : « Ta figure » ; « tu vivras » enfin Paul Verlaine se rapproche de plus en plus d’une description détaillé , « Son regard est pareil au regard des statues » ; « pour sa voie, lointaine, et calme, et grave ».

        Finalement, à partir de ce corpus nous avons pu constater que la poésie amoureuse n’est pas forcement évocation de la souffrance, car comme nous l’avons vu dans le texte 2 de Verlaine ou la souffrance n’apparait pas clairement et explicitement. A Georges Sand (VI) de Alfred De Musset aurait pu apparaitre dans ce corpus car je trouve qu’il a sa place paris ces poème parlant de l’amour et de la souffrance.

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