La seul vocation de la poésie est-elle de célébrer l'amour?

Sujet : Paul Eluard, le poète « aimant l’amour », n’est pas tant amoureux d’une femme que de l’amour lui-même. La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l’amour, pu privilégiez-vous d’autres foctions ?

        Verlaine a dit : Il n’y a aucun pays de la Terre où l’amour n’est rendu un amant poète ». Selon lui, tous ceus ayant connu l’amour sont devenus poètes, poussés par le désir d’exprimer leurs émotions. Il est vrai que la poésie est le lieux privilégié de l’expression des sentiments, en particulier celui de amoureux. Faut-il pour concidérer cela comme étant son unique rôle ? La vocation de la poésie est-elle simplement de célébrer l’amour ? Ne pourrait-on pas lui attribuez d’autre fontions ? Après avoir montrer la place primordiale des sentiments amoureux, il s’agirat de d’évoquer l’existance d’autre sentiments et enfin nous verrons que la poésie ne se limite pas à la simple expression des sentiments personnels.

        La poésie est depuis l’Antquité une célébration des sentiments amoureux.

        Tout d’abords, le mythe d’Orphée suggère qu’il aurait été le premier à introduire le lyrisme dans sa poésie. En effet, selon la mythologie antique, Appolon, dieu des arts, fait présent d’une lyre à Orphée, doué pour chnater des poèmes et calmer le monde. Amoureux d’Euridice il se sert de son art pour lui exprimer ses sentiments. C elyrisme se poursuit à travers les siècle et mouvements, jusqu’à nos jours, on la retrouve au Moyen-Age ainsi que dans la poésie courtoise du XVIe siècle ou l’amour dédié à la femme est un thème majeur. Durant le Baroque on assiste à une exploration des sentiment amoureux qui se poursuit durant le romantisme où le lyrisme occupe un eplace fondammentale. Les surréalistes également sont d’accord pour mettre l’amour au premier plan de la vie. Aujourd’hui le theme amoureux reste profondément encré dans les mémoir et dans l’écriture, nous pouvons faire référence au printemps des poètes de mars 2007 consacré aux poème d’amour en l’hommage de René Char. L’amour à donc toujours était au cœurs de la création poétique.

        Depuis l’origine les poètes utilisent la poésie afin de déclarer, célébrer leur amour, souvent guidé par une muse. C’est le cas de Baudelaire qui s’adresse à Jeanne Duval dans 3le Balcon » et lui rappel leurs soirées passées ensemble ; de Ronsard qui rencontre Cassandre, une jeune fille de treize ans marié au Seigneur du Pré, elle devient pour Ronsard ce que Laure est pour Pétrarque et va lui permettre de célébrer cette amour platonique. Il lui vous d’ailleurs Les amours de Cassandre et lui déclare son amour dans « Madrigal », le madrigal étant un poème court à registre lyrique. Egalement Apollinaire qui écrit Le Fou d’Elsa qui rassemble les plus beaux poèmes d’amour qu’il écrit lorsqu’i esy engagé dans les tranché pous Elsa, mais aussi Paul Eluard, le poète « aimant l’amour » dans son receuil L’amour la poésie où il rettrace son histoire tumultueuse avec sa muse t première femme Gala. La poésie est ainsi fondamentalement  un déclaration d’amour.

        Mais c’est aussi un idéal amoureux que les poètes cherchent à mettre en valeur dans leur poésie, qui souvent leur est inaccessible. Par exemple Eluard qui décrit dans « La Dame de carreau » de vierges, inocentes et jeunes femmes , ce n’est « jamais la même », dont-il rêve chaque nuit. Ce que l’on retrouve chez Verlaine, celui-ci présente une femme substituable, qui n’a aucun trait physique propre mais qui est sa complice, c’est une femme « inconnue, qu[‘il] aime qui [l’]aime », « qui [le], dans « Mon rève familier ». Dans « L’ai tant réver de toi », Desnos exprime ce qu’il ressent face à l’abscence de la femme aimée, Desnos parle du souvenir d’une femme aux pouvoirs charnels qui n’esxiste plus que dans ces rêve, i exprime alors une plainte sous un registre élégiaque. L’idéal amoureux des poètes est souvent similaire, tous ont tendance à le placer au rang d’idéale urltime.

        L’amour est donc un sentiment primordiale dans l’écriture poétique qui permet aux poètes de déclarer et de célébrer cet amour. Ce n’est cependant pas le seul sentiment exprimé par les poètes.

        Tout d’abord, les sentiments ressentis par les poètes, peuvent être heureux eou malheureux. En effet, la fin à la fin du mythe d’Orphée, celui-ci perd sa femme définitivement, après l’avoir perdu une première fois mais réussit à la ramener par ses belles paroles, son chant se transforme ainsi en une plainte inouï sous un registre élégiaque laissant place à l’expression de la douleur et de la tristesse. Cette tristesse se retrouve dans la mélancolie et la nostalgie exprimé par de nombreux poètes. Chez Apollinaire, par exemple, avec « Sur le pont Mirabeau » où il évoque la fuite du temps semblable à l’eau qui s’en va. Verlaine qui écrit « chanson d’automnes » et « Colloque sentimentale », particulièrement monotones. Mais encore « L’Ennemi » et « L’Horloge » de Baudelaire qui écrit aussi « Spleen » qui inspire Senghor pour l’écriture de son poème « Ndéssé ou Blues », ces troiss noms signifiant nostalgie, mélancolie. Ils y expriment leur ennui de la France et la nostalgie d’un pays, iconnu pour Baudelaire, et l’afrique pour Senghor, notament dans « Nuit de Sine » où il recréer l’atmosphère du monde de son enfance. L ebonheur et également un sentiment exprimé chez certains poètes comme Guilleic dans « Terre à bonheure ». Les poètes sont ainsi des êtres torturés, et s’inspire de leur souffrance pour leurs poèmes, Musset le dit d’ailleurs : « Frappe-toi le cœur, c’est là qu’est le génie. »

        De même l’expression de la peur se retrouve aussi au fil des siècles, à travers les guerres, de religions, XVIe siècle, et mondiales, XXe siècle. En effet les hommes sont engoissés par la mort et se libèrent de leurs inquiétudes de la mort par l’ecriture poétique, deux mouvement sont particulièrement marqués par les conséquence spychologique des guerres, Le Baroque suite aux guerre de religions et le surréalisme suite à la première guerre mondiale de 1914, l’inspiration foisone, les hommes explore leur sentiments. Baudelaire dans « Spleen » est également hanté pas la mort et exprime dans son ecriture son mal à vivre.

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