Cours sur l'inconscient
Commentaire de texte : Cours sur l'inconscient. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar noukoumouk • 5 Janvier 2020 • Commentaire de texte • 3 273 Mots (14 Pages) • 505 Vues
L’INCONSCIENT :
Il faut délimiter la notion d’inconscient depuis la théorie freudienne qui occulte parfois l’existence d’autre acceptions possibles du mot. Le mot inconscient et un adjectif qui à première vue une qualification négative et qui renvoi au domaine de tout ce qui échappe à la conscience. Tant qu’on s’en tient à cette définition négative, l’inconscient n’est que du non conscient, résultat d’une distraction ou d’une absence. Seul un effort de ma part peut séparer le non conscient du conscient. Tout change si l’inconscient à une réalité propre comme lieu non seulement de ce qui n’est pas conscient mais aussi comme origine d’un principe de fonctionnement de la pensée. L’inconscient et il quelque chose de relatif ou d’absolu. On rapporte cette notion à mon paysage intérieur s’il existe quelque chose comme inconscient une part de mes pensées et de mes désirs se déploie sans que je n’en aperçoive. Nous pouvons nous surprendre nous-même, voir surgir une facette de notre personnalité que nous ne connaissons pas et parfois que nous refusons. Il y aurait une part d’ombre dans chacun de nous, c’est-à-dire une part qui ne bénéficie pas du témoignage de la conscience. Cette intrusion menace la toute-puissance de la conscience cartésienne. Somme nous transparent à nous même ou bien y a t’il entre moi et moi de l’opacité ? S’il existe un inconscient comme réalité positive et dynamique c’est non seulement ma lucidité et ma souveraineté qui sont mis en cause. L’inconscient deviendrait la cause de ma pensée. A partir du moment ou quelque chose d’autre que moi est à l’origine de ma vie intérieure, que garde elle de sa liberté ? la question est amplifiée par les prétention scientifique de la théorie de Freud qui défend un déterminisme psychique. La conscience est-elle déterminée ou libre.
I-L’inconscient, quelle réalité ?
A-La continuité de la conscience
La psychologie moderne repose sur l’idée cartésienne de la transparence du sujet à lui-même. Tout ce que je pense je sais que le pense. La pensée serait pleinement et continuellement accessible tout comme ma perception car la pensée coïncide avec l’ensemble du vécu psychologique. Chez Descartes la perception est annexée à une pensée transparente a elle-même. Pour Descartes voir et toucher se fait par les organes corporels mais la pensée de voir et toucher n’a pas besoin de ces organes. La théorie de Descartes implique que soit reléguer hors de la pensée, comme n’en méritant pas le nom tout ce qui échappe à la conscience. Leibniz parlera des petites perceptions qui échappe à noter conscience : « puisque réveiller de l’étourdissement on s’aperçoit de ses perceptions, il faut bien qu’on en est eu immédiatement auparavant quoi qu’on ne n’en soit point aperçu. Une perception ne saurait venir naturellement que d’une autre perception comme un mouvement ne peut venir que d’un mouvement. Si je me reveille en ayant mal au dent, la douleur ne commmence pas avec ma prise de conscience : j’avais mal au dent en dormant au poin que c’est la douleur qui ma reveiller. La où Descartes postulair la continuité de la conscience L affirme la continuité de la perception en ouvrant la voie à la possibilité de la perception non consciente.
B-L’inconscient comme conscience virtuel.
Il ne faut pas voir dans la théorie de liebniz un préfiguration de la théorie de Freud. Chez Leibniz les perceptions ne sont pas prise en conta par la conscience du fais de leurs nombres, de leurs intensité ou de l’habitude qui s’y attache : « la coutûme fait que nous ne prenons pas garde au mouvement d’un moulin ou a une chutte d’eau quand nous avons habité tout prés depuis quelque temps ». si je ne suis pas voisin du moulin mais nouveaux venu son mouvement me restera pas inapercu, l’inconscient n’est que du conscient virtuel. Chez liebniez le therme renvoi a du perçu qui na pas fait l’objet d’une aperception c’est-à-dire du perçu non-aperçu.
Un analyse comme celle de liebniz est une analyse de l’inconscient mais ce therme ce difuse surtout au 19ème siecle et est utilisé comme outil théorique au service dune reflection psychologique. Considérant le probleme de l’unité du moi comme un probleme biologique, Ribot considère la personnalité consciente comme une part émergé de la personnalité physique : cette derniere etant organiquement inconsciente. C’est une théorie deterministe mais de façon matèrialiste : seul des raisons organiques rendent raison de la ligne de partage entre ce qui est conscient et ce qui ne l’est pas.
Cette aproche n’acorde pas un rôle dynamique à l’inconscient comme celle de Freud. La réalité clinique des phénomènes inconscients n’est prise en conte qu’en douceur. Pour Bergson : « l’idée est une représentation inconsciente et claire en dépis d’un préjugé répendu, nous en faisons un usage courant il n’y à pas de conception plus familière au sens commun »(matère et mémoire). L’inconscient n’est que ce que la conscience actuel tourner vers l’utile rejette comme superflu. Pour Bergson nous avons une répugnace à concevoir des états psychologique inconscient car nous tenons la conscience pour la propriété éssentielle des états psychologique.
C-Linconscient, une réalité indépendante ?
Cest son experience de médecin qui à mener Freud à l’hypothèse de l’inconscient un certain nombre de phénomène comme les lapsuces les rêves ou les actes manquer ne trouve de place dans aucun des cadres théoriques existant au point que leurs réalité et mise en cause. Il sagit de « sauver » ces phénomènes en établissant leurs réalité XXX. Il faut les inserer dans un cadre théorique : l’hypothese de l’inconscient, l’ambition de Freud et d’expliquer scientifiquement ces phénomenes sur le models des sciences de la nature cest a dire les caracteriser comme effet d’une cause donc linconscient devient une réalité absolu. L’inconscient admet 3 sens : adjectif descriptif qualifie un procesus chimique dont lexistence est démontré par ses manifestation mais dont nous ignorons qu’il se déroule en nous. Pui scomme sens dynamique et causal comme l’élément qui à produit ces manifestations. L’inconscient et topique (topos= lieu : il designe un lieu psychique). La pulsion fait le lien entre l’organique et le psychique, c’est une tentative d’explication de phénomène organique visible par du psychique invisible.
L’existence d’un inconscient relève de l’hypothese comment en établir la réalité ? il est dificile de manifester l’existence d’un inconscient s’il échape a la conscience. Freud résonne par induction : « l’inconscient est la cause invisible des fait visible.
Freud defend son hypothese en invoquant un gain de sens et de coherence plutôt que d’en invoquer la réalité effective. Il ne peut il y avoir de preuve de l’inconscient que par induction : le succés de la psychanalyse sous sa forme hypnotique et sous sa forme dialogué constitu pour Feud une preuve suffisante de l’existence l’inconscient. Cette découverte fait partie de k’heritage culturel europeen : considéré que le lapsuce et révélateur ou que le rêve peut être interprété le montre bien.
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