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Corpus de document sur Ronsard

Commentaire de texte : Corpus de document sur Ronsard. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  4 Décembre 2018  •  Commentaire de texte  •  599 Mots (3 Pages)  •  949 Vues

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        Victor Hugo est né en 1806, c’est un poète du 19ieme siècle. Il appartient au romantisme. Ce poème s’agit d’un extrait des contemplations, recueil où se compose de plusieurs poèmes rassemblés dans 6 livres. J’aime l’araignées et j’aime l‘ortie, composé de 7 strophes de quatre vers. Ce poème est divisé en deux parties. Il réhabilite dans ce poème, un animal ; l’araignée et un végétal ; l’ortie. Ce poème s’adresse aux lecteurs. Comment Victor Hugo nous montre à quoi l’araignée et l’ortie sont comparés dans ce poème. Nous allons étudier dans un premier temps un éloge paradoxal et dans un second temps la description physique des araignées et des orties.

1/ Eloge paradoxal

  1. Amour paradoxal

Dans ce poème nous constatons le champs lexical du dégout et du mal tout au début mais ensuite à celui de l’amour avec les termes « mélancolie »v.21, « amour »v.28 « baiser ».Le champs lexical de l’amour apporte une sorte de bonne humeur au poème ce qui attire aussi les lecteurs .Nous observons aussi deux autres champs lexical l’un sur l’araignée et l’autre sur l’ortie « j’aime l’araignée »v.1 « j’aime l’ortie » v.1 , « on les hait » v.2, « elles sont maudites »v.5, »triste captives »v.7, « on les fuit » v.14, « deux victimes » v.15 « fauve horreur »v.23, « vilaine bête et la mauvaise herbe» v.27. On voit une anaphore de « parce que » écrit sept fois, ainsi qu’une énumération « maudite , chétive, noir être rampants » mais aussi une métaphore « l’araignée un greux » v.12 « ortie une couleuvre » v.11 .

  1. Registre Pathétique

Le poète nous montre sa pitié envers ses deux êtres vivants et leur triste vie avec le champ lexical de la pitié « leur morne souhait » v.4, « au pauvre animal » v.28 « triste captive » v.8, Victor Hugo les décrit comme deux victimes où l’araignée et l’ortie se rejoignent dans un triste sort, condamnés : « au sort ! fatal nœuds » v.10. Ce vers nous montre qu’elles sont prises aux pièges et ne peuvent nul s’échappé. Au dernier vers « murmurent : amour ! »  Nous montrons qu’il aime l’araignée et l’ortie et veut montrer qu’elles réclament que de l‘amour. Nous observons des antithèses « j’aime- on les hait » « rien-tout » « exauce-châtie ».

2. Description physiques de l’araignée et de l’ortie

 a. Description négatif , défavorable

Grâce aux lecteurs, on peut constater que le poème est négative tout au début avec des termes négatives ou l’araignée et l’ortie sont décrit comme des animaux bêtes « vilaines bêtes ; mauvaises herbes » « fauve horreur » v.23 « pauvre animal » v.18. En lisant le début du poème, nous observons l’horreur et la laideur de la nature.

  1. Champs lexical de la peur

Dans ce poème, Victor Hugo nous montre le champ lexical de la peur qui fait rappel à la prison « pièges » « guet-apens » « fatal nœuds » mais aussi celui de la haine « haïr ». Le poète décrit ses êtres comme malfaisantes qui vivent dans l’obscurité « noir appants » « sombre nuit » « plante obscure ».

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