Corpus: Ronsard, Queneau, Corneille, Baudelaire

Les différents textes que nous allons étudier sont Ronsard « Mignonne, allons voir si la rose » en 1550, Corneille « Stances à Marquise » en 1658, Baudelaire « Une Charogne » en 1867 et Queneau « Si tu t’imagines » en 1958. Ces quatre textes ont était écrit à quatre siècle différents pour tant, leur points commun sont nombreux même si il y a quelque différence.

Dans un premier temps nous verrons les différences de ses textes.

Les différences entre ces textes sont, premièrement la façon dont cela c’est écrit, ils sont tous en vers mais le nombre de syllabe changent. La façon dont le pète s’exprime est différent par son style, mais aussi par sa façon plus ou moins directe de s’exprimé. Queneau par exemple reste noble dans ses propos tout en « avertissent » la femme que sa beauté va disparaitre. Tant dis que pour Baudelaire dans une Charogne, ces phrases son directe, il emploie des termes cru pour faire réagir. Pour Ronsard et Corneille, ils s’expriment eux aussi de manière conciliante bien que leur parole se rejointe toutes.

Le poème de Queneau, se lit plus comme une chanson, que les autres, en comparaison avec les autres le poème de « Si tu t’imagines » est plus mélodieux que les autres, la façon dont il est écrit est comme à l’oral alors que les autres sont écrit de façon poétique et littéraire.

Pour Queneau et Ronsard leur poème ont une morale à la fin alors que pour les deux autres, elle ne montre pas forcément, où elle est dite indirectement. Baudelaire et Corneille exprime surtout ce qu’ils ont à dire de ses femmes, les placé sous eux. Car elles, elles ne sont rien et ne peuvent pas s’exprimer alors qu’eux le peuvent.

Dans un deuxième temps nous allons voir les points communs entre ses différents textes.

Premièrement, nous pouvons voir dans ces quatre textes l’évocation que les poètes font pour faire ressortir le terme « carpe diem », c’est-à-dire cueillir le jour. Il est présent dans tous les textes mais surtout dans celui de Ronsard et de Corneille qui montre qu’il faut profiter de l’instant présent avant que la beauté de la femme ne change. Cette façon de penser se retrouve dans tous les textes de façon plus ou moins explicite. Ils font un éloge de la femme temporaire. Insinuant que la femme est belle comme une fleur mais qu’elle finira par faner, quand les années passeront. Ils sont d’accord sur ce point dans les quatre textes. Tous ces textes sont basés sur le temps qui passe et la beauté de la femme. Pour ces poètes l’un va avec l’autre. Corneille pense que le temps fait moins de ravage sur les hommes que sur les femmes. Les hommes subissent mieux le temps et garde un certain charme comparait à celui des femmes qui disparait en quelque sorte. Pour il passe à travers le temps.

Deuxièmement, un autre de leur point de comparaison est la façon dont est écrit leur texte. Ils font une description de la femme avec un discours facile et franc. Il parle de la belle femme qu’elles sont ou qu’elles étaient pour ensuite la comparait à ce qu’elles seront. Ils montrent le côté d’elles qu’elles ne voient pas encore. Lorsqu’elles seront vielles et que selon eux, elles n’auront plus rien pour elle. Que leur beauté et leur charme se sera dissipé.

Pour finir, le discours

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