Corpus comportements des Européens
Commentaire de texte : Corpus comportements des Européens. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lou.grange • 19 Mars 2019 • Commentaire de texte • 648 Mots (3 Pages) • 469 Vues
Rousseau est un écrivain, philosophe et musicien du XVIIIème siècle, il publie en 1754 le discours sur sa réflexion sur l’Homme Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. Céline est un écrivain et médecin français né à la fin du XIXème siècle, qui a écrit Voyage au bout de la nuit en 1932. Vendredi ou les limbes du Pacifique est un livre publié en 1972 et écrit par Michel Tournier écrivain du XXème siècle. Carrière est un écrivain, scénariste et metteur en scène, qui a écrit La Controverse de Valladolid, publié en 1999. Quels sont les mauvais comportements des Européens mis en évidence dans ce corpus ? En première partie je parlerai des violences et intolérances émises par les Européens et en seconde partie du faite qu’ils ne remettent pas en questions.
Les Européens se pensent supérieur aux autres peuples, dans les textes de Céline et Michel Tournier, c’est eux qui se croient au-dessus qui pensent avoir une autorité plus forte par exemple avec le champ lexical raciste : l5-18 « nègre », l10-17 « sauvage », l10 « bougnoule », l13 « ce Noir » qui montre que les Européens ne considèrent pas les africains comme des hommes égaux à eux-mêmes. Dans le texte de Michel Tournier, Robinson se sent en quelques sortes le chef de Vendredi puisqu’il se fait appeler « maître » l1-11-26 ou « gouverneur » l18, et aussi parce qu’il décide de ce qui est bien ou mauvais pour Vendredi avec le pronom « tout » à la l1 et les verbes au présent « ordonne » et « défend » a l1. Robinson et les Européens se pensent donc supérieur, pas égaux par rapport aux autres peuples en les négligeant ou en leur donnant des ordres.
Les Européens utilisent aussi la violence pour se sentir supérieur face à d’autres peuples. Dans le texte de Carrière, le champ lexical de la violence montre la cruauté des Européens : l8 « éventrer », l9 « massacrés », l9 « le sang », l16 « mettre à mort », l17 « brûler vif », l27 « égorgée ». Dans le texte de Michel Tournier, Vendredi est frappé quand il ne suit pas les instructions donné par Robinson comme le montre la l11 : « à lever la main sur lui » et l15 « une gifle retentissante » avec l’adjectif retentissante qui donne une impression d’un son très fort et très résonnant.
Les Européens ne se remettent pas en questions quand ils découvrent de nouveaux peuples, ils ne remettent jamais en questions leurs croyances et ne cherchent pas à comprendre si celles des autres peuvent-être différentes. Dans le texte de Carrière, on voit que les violences causés aux hommes est faites au nom de la religion : « Un moine s’approcha…il lui demanda si il voulait aller au ciel. » l17-18. Dans le texte de Rousseau, les voyages ont aussi un rapport avec la religion avec le champ lexical de la religion : l13 « l’Evangile », l13-14 « Dieu », l15 « saints ». Les Européens ne se posent donc pas de questions, ils écoutent leur religion et l’imposent aux nouveaux peuples qu’ils rencontrent.
Au XVIIIème siècle, très peu d’Européens peuvent voyager dans le monde pour découvrir le monde et de nouveaux peuples, les seuls qui peuvent voyager sont « les marins, les marchands, les soldats et les missionnaires » l8 dans le texte de Rousseau mais selon lui ils ne voyagent pas comme il faut. Tous les autres européens lisent seulement les
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