Contrôle de grammaire – Les propositions

Grammaire – Les propositions

Contrôle

Identifier différents types de propositions

Identifier la nature de propositions subordonnées

Prénom :

NOM :

NOTE :         /20

1) Oui, le crime est malheur, et pas un homme, pas une femme de cœur, de raison, de responsabilité, ne souhaite d'abord le combattre. (R. Badinter)

2) Pour eux, il est en effet des crimes trop atroces pour que leurs auteurs puissent les expier autrement qu'au prix de leur vie. (R. Badinter)

3) On en devient fêlé, et on finit solo. (Stromae)

4) Ah les amis, les potes ou les followers, vous faites erreurs, vous avez juste la cote. (Stromae)

5) Prends garde à toi si tu t'aimes. (Stromae)

6) Un jour tu verras, on s'aimera. (Stromae)

7) J'accuse les trois experts en écritures, les sieurs Belhomme, Varinard et Couard, d'avoir fait des rapports mensongers et frauduleux. (É. Zola)

8) En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881. (É. Zola)

9) Quant aux gens que j'accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n'ai contre eux ni rancune ni haine. (É. Zola)

10) Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme. (É. Zola)

11) Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. (Rimbaud)

12) J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ! (Rimbaud)

13) Dans la nuit parfumée aux herbes de Provence,

le lombric se réveille et bâille sous le sol. (J. Roubaud)

14) Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage

Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers (C. Baudelaire)

15) Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir ! (A. de Lamartine)

J

C

S

1) Oui, le crime est malheur, et pas un homme, pas une femme de cœur, de raison, de responsabilité, ne souhaite d'abord le combattre. (R. Badinter)

2) Pour eux, il est en effet des crimes trop atroces pour que leurs auteurs puissent les expier autrement qu'au prix de leur vie. (R. Badinter)

3) On en devient fêlé, et on finit solo. (Stromae)

4) Ah les amis, les potes ou les followers, vous faites erreurs, vous avez juste la cote. (Stromae)

5) Prends garde à toi si tu t'aimes. (Stromae)

6) Un jour tu verras, on s'aimera. (Stromae)

7) En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881. (É. Zola)

8) J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ! (A. Rimbaud)

9) Dans la nuit parfumée aux herbes de Provence,

le lombric se réveille et bâille sous le sol. (J. Roubaud)

10) Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir ! (A. de Lamartine)

1

2

3

4

1) Car, un jour, il faudra que l’étoile aussi tombe, (V. Hugo)

2) J’ai longtemps habité sous de vastes portiques

Que les soleils marins teignaient de mille feux, (C. Baudelaire)

3) Cessez donc de chercher, ô belle curieuse !

Et, bien que votre voix soit douce, taisez-vous ! (C. Baudelaire)

4) Faut-il partir ? rester ? Si tu peux rester, reste (C. Baudelaire)

5) La sagesse consiste à savoir si on ne dérange pas ses amis.

6) Pour eux, il est en effet des crimes trop atroces pour que leurs auteurs puissent les expier autrement qu'au prix de leur vie. (R. Badinter)

7) En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881. (R. Badinter)

8)

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,

Je partirai.  […]   (V. Hugo)

9) 8) Il est un pays superbe, un pays de Cocagne, dit-on, que je rêve de visiter avec une vieille amie. (C. Baudelaire)

10) Il a eu un empêchement si bien qu’il ne peut pas venir ce soir.

11) Et je voudrais, […],
T’être un des frères dont je parlais tout à l’heure (P. Verlaine)

12) Et le soir, quand la nef harmonieuse de la cathédrale s’endormit couchée les bras en croix, il aperçut, de l’échelle, à l’horizon, un village incendié par des gens de guerre (A/ Bertrand)

13) Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant (G. Apollinaire)

14) Il pleure dans mon cœur

Comme il pleure sur la ville (P. Verlaine)

15) — Mais je m’aperçois que mon esprit dort. (A. Rimbaud)