Commentaire sur l’article persécution de VOLTAIRE
Commentaire de texte : Commentaire sur l’article persécution de VOLTAIRE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mounirles • 3 Février 2019 • Commentaire de texte • 709 Mots (3 Pages) • 860 Vues
VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique ou la raison par Alphabet n’est pas au’n simple recueil de définition. (1764) article « PERSECUTION »
INTRO:
Voltaire Francois Marie Arouet a passer sa carrière à dénoncer le fanatisme, la prédiction intolérance religieuse, superstition. « Voltaire voulait écraser l’infâme ». Pour cela il a employer plusieurs forme plusieurs genre littéraire : le conte philosophique « candide », des lettres philosophiques, des pensées et même tout un dictionnaire à l’instar de l’Encyclopédie
4 raison pour le quels ce n’est pas un dictionnaire classique:
La quasi totalité des article a pour thème la religion.
Le ton n’est jamais neutre, il semonce et ne compte pas juste d’expliquer. le ton est souvent provocateur.
Implication personnel et fréquente, le lecteur est souvent interpellé. Il s’implique et implique le lecteur
Les formes sont préservé mais parfois on a du dialogue, des histoires, théâtre apologue.
Le dictionnaire philosophique fut publiée à Genève et interdit et même brulé en 1766 avec le corps du chevaliers de la barre accusé d’impiété. L’article n’a pas pour but de définir simplement le mot persécution mais pour dénoncer les causes et les responsables de la persécution.
Des rois et des empereur indirectement responsables.
L’exemple des empereur Romains.
- Dioclétien (1§) négations restrictions —> innocent.
Galérius responsables des matures chrétiens sous le règne de Dioclétien.
Voltaire oppose le début et la fin de son règne le début la tolérance, la fin la Grande Terreur.
1ère faute:
La litote : Il ne les sauva pas ( les martyres chrétiens) il la laissé faire, il etait d’accord.
2ème faute:
De plus voltaire l’accuse de faiblesse il a été séduit et entrainé par la cabales ( complot).
Trajan et Antonin ont interdit la religion sans faire des bains de sang.
Se qui justifie la restrictions (l.4) « je ne leur donnerai encore moins le nom de persécuteurs »mais la fin de la phrase est ironique quand il dit « je croirais prononcer un blasphème » ce n’est pas insulté la religion chrétienne que d’affirmer qu’ils sont les persécuteurs parce que c’est vrai.
Cette formule est autant plus provocatrice que l’empereur Antonin était surnommé de pieux mais qql un de très croyant pour le culte païens pas chrétiens.
II) L’exemple des Roi de France.
Même procédé qui reprend les multiplications « ni », il donne deux raisons pour les disculper, Francois 1er et Henri II trop occupés par leur histoires avec leur maitresse quant a Francois II trop
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