Commentaire sur Frankenstein

Le 19ème siècle est marqué par la science-fiction qui marquée par le développement des sciences et des techniques. La science-fiction est basée sur un passé ou un futur lointain, ce passe toujours dans un univers imaginaire et qui s’inspire des sciences et de technique. Le texte qui nous allons étudier est une œuvre de Mary Shelley. Intitulé Frankenstein apparue en 1818. Le texte est situé dans le début du roman grâce au hors-texte. Cette texte présente un jeune savant qui se nomme Frankenstein est qui a crée un être en assemblant des morceaux de chair prélevés sur des cadavres humains. Comment l’invention et les sentiments éprouvé par le savant sont basée sur de la science-fiction. Tout d’abord nous allons observer la présentation de l’invention du savant ; Enfin nous allons étudier les sentiments éprouvé par le savant.

Pour commencer nous allons observer la présentation de l’invention du savant grâce notamment à la description de la créature. Pour cela nous remarquons que le jeune savant à donner vie à quelque chose d’étrange car c’est une invention faite par lui-même. En effet cette objet ou cette chose ne devrait pas avoir de vie humain ou caractéristique humain en lui. Cela nous fait voir une personnification car on donne une vie à un objet. Pour continuait nous allons observer la description de l’être en train de prendre vie grâce à la respiration « sa respiration pénible commença » (l.6) à la suite « un mouvement convulsif » (L.6), le mot convulsif, indique qu’il n’a pas de contrôle sur lui-même et qui évoquer quelque chose d’incontrôlable ou mais voir de dangereux. On nous le décrit comme une personne humaine car les membres ce sont les partie principale d’un corps humain pour pouvoir se déplacer et être en mouvement car il dit « agita ses membres » (L.7). L’Antithèse « l’œil jaune et terne de cet être » (L.5-6) il y a une opposition entre jaune et terne car le jaune c’est une couleur étincelante mais contrairement au terne qui est une couleur sombre. Pour finir à la ligne 13 à 15 la métaphore entre « merveilles » et « horrible » qui signifie que la créature faisait de plus en plus peur car sa composition était très épique car aucune autre créature ne pouvait ressemble à cela car il a était créé de toute pièces par le savant qui a fait de mélange très étrange. Comme « ses lèvres droites et noires » (L.15) cela signifie que la créature ne pourra jamais sourire ou exprime aucun sentiments. Ensuite nous allons étudier le domaine de la science humaine. En effet dans les lignes 11 à 15 on remarquer le champ lexical du corp humain : « peau », « muscles », « artères », « ses cheveux », ses dents », « ses yeux », « ses lèvres ». Tout cela représente chaque partie de la créature que le savant à décrit cela permet de renforce la personnification présente dans ce texte. Dans la suite on exprime le désarroi du savant qui très déçu de sa création grâce à cette phrase exclamative « Pour leur beauté ! Grand Dieu ! » (L.11). Le désarroi du savant est confirmé à la suite par « Sa peau jaune couvrait à peine le tissu des muscles » (L.11) c’est une créature qui nous ait présente sous une forme pédagogique car le lecteur peut s’imaginer la créature est imaginé que c’est sa serait vraiment très laid mais voir terrifiant.

Enfin

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