Commentaire les caractères de la bruyère, livre VII remarque 4
Compte rendu : Commentaire les caractères de la bruyère, livre VII remarque 4. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar toucancan • 13 Novembre 2022 • Compte rendu • 461 Mots (2 Pages) • 1 147 Vues
Jean de la Bruyère est écrivain moraliste français. Il est célèbre pour son œuvre unique , les caractères. Il sort la première édition en mars 1688. La b n’a cessé de modifié l’ouvrage jusqu’en 1696 où il sort la dernière version comptant 1120 remarques.Les caractères sont constitués d’ un ensemble de brèves pièces littéraires et s’inscrit dans le classicisme. Le livre VII, dont le titre est « De la ville », met en avant l’importance que les hommes et femmes accordent au regard de l’autre. Celui-ci influence les actions et comportements des individus. Chacun se compare, se moque avec des intentions malveillantes de l’autre, et se dissimule derrière un masque, ce qui détruit le naturel et l’authenticité. Nous étudierons la remarque 4. Cette remarque dénonce la création de petites république au seins de la société. On se demandera donc comment l’auteur dénonce-t-il l’impact des sociétés sur les gens et leurs actions. Nous procéderons en étudiant comment les sociétés peuvent rendre les hommes intolérants de la ligne 1 a 8. Puis nous nous pencherons sur les inégalités sociales qui se créer a cause de celles-ci. Puis nous étudierions les fragilités au seins de celles-ci , ce qui ne les fait pas durer.
A la 1ere ligne on remarque une comparaison des sociétés. L’auteur les compare à des petites républiques ce qui permet de creusé un fossé entre la ville et ses habitants car il les divise, les classe par catégorie , en utilisant ce terme.
Il énumère ensuite tous les aspects négatifs de ces sociétés en utilisant des sous-entendus pour atténuer ses propos. Par exemple, il utilise « leurs mots pour rire » pour critiquer la moquerie fréquente .
De la ligne 4 à 8, LB expose son avis par rapport a ces sociétés et nous fait part de la stupidité et des conséquences de celle-ci. On observe une répétition de la consomme t avec « tant » et « entêtement » puis ensuite une répétition des sons ien avec les mots bien, rien sien et vient. Cela permet de percuter les lecteurs car le but est de faire faire sonner cette phrase comme un avertissement, une affirmation.
Les négations on ne trouve rien de bien (ligne 5) et « qui ne sont pas initiés dans leur mystères » viennent exposer les conclusion de ces division. Cela vient renforcer le point de vu négatif qu’à la bruyère sur ces sociétés. Il pense que les gens qui font parti de ces petites républiques, sont si impliqués dedans qu’ils deviennent malveillant jusqu’au point de mépriser les gens en désaccord avec eux. A la ligne 6 il y a aussi la métaphore « incapable de gouter ce qui vient d’ailleurs » qui permet de montrer l’intolérence des hommes créer a cause des socciétés.
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