Carnet de lecture : Le parti pris des choses de Ponge

Carnet de lecture Le parti pris des choses de Ponge

Titre intérieur : Regarder et réinventer le monde : la poésie des choses

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Lycée générale et technologique Irène et Frédéric Joliot Curie

Victor Pacholczyk 1ère 5 année scolaire :2019-2020

1.   Présentation du livre

1. Présentation de l’auteur et de l’œuvre et intérêt du livre (avec mise en valeur typographique)

Francis Ponge est un écrivain, poète français, né à Montpellier le 27 mars 1899 et mort au Bar-sur-Loup, Alpes-Maritimes, le 6 août 1988. Il fréquente le groupe surréaliste, sans adhérer pleinement à ce mouvement. Il adhère au parti socialiste à la fin de la Première Guerre mondiale. En 1937, il rejoint le parti communiste, où il restera 10 ans. Le Parti pris des choses est un recueil de poèmes en prose écrit par Francis Ponge et paru en 1942. Dans Le Parti pris des choses, Ponge décrit des « choses », des éléments du quotidien, délibérément choisis pour leur apparente banalité. L'objectif de ce recueil est de rendre compte des objets de la manière la plus précise possible en exprimant les qualités physiques du mot. Plus simplement, il veut rendre compte de la beauté des objets du quotidien. Il incarne aussi toute la méfiance de son époque. L’intérêt de cette œuvre est qu’il permet d’avoir une nouvelle et différente vision du monde.

1. Indiquez le thème général et classez les poèmes par rubriques.

Le thème général est l’Homme et la nature que l’on divisé en 3 autres thèmes

1. Comment le langage poétique permet-il de donner vie au « Pain » ?  (Figures de style, sensations, sonorités)

Il y a une comparaison entre le pain et la montagne ce qui lui donne des formes mais ce qui le rend vraiment vivant c’est sa personnification grâce à des mots comme « coude » et des verbes d’action comme « éructer ». L’utilisation de présent général permet une description précise, la description démarre par une vision lointaine du pain et va se rapprocher petit à petit pour finir par une description intérieure du pain ce qui met en valeur l’extérieur du pain le faisant passer pour quelque chose d’immense alors qu’il ne l’ait pas du tout. La différence entre l’intérieur et l’extérieur du pain est marquée par un tiret et le passage à un registre péjoratif ce qui crée une coupure nette dans le poème et met en valeur l’extérieur du pain comme pour dire qu’il est beau à l’extérieur mais moche à l’intérieur. Il y a une allégorie de la création poétique car pour Ponge pense qu’un poème se façonne de la même manière que du pain parce qu’il passe de quelque chose d’informe les mots pour le poème et la pâte pour le pain à quelque chose de plein de sens un poème et du pain ; mais aussi parce qu’il exerce un jeu de mots avec son nom en comparant le pain à des éponges sachant que son nom est Ponge se procédés permet de faire comprendre que pour lui, un poète est comme un pain.

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