Banque de citations - Hernani, Victor Hugo
Fiche : Banque de citations - Hernani, Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tee Dlc • 29 Juin 2020 • Fiche • 1 363 Mots (6 Pages) • 738 Vues
Citations principalement tirées d'Hernani (25 février 1830) :
H :
« Moi ? Je brûle auprès de vous »
« Jamais à nos amours le ciel n'a consenti ».
« Eh quoi !/ La vie (…) que m'importe ! Ah ! Je tiens ma vengeance ! »
« Je porte malheur à tout ce qui m'entoure ». « Malheureux que tout abandonne et repousse ». « Tout me quitte (…) Car je dois être seul ».
« je rentre dans ma nuit », « une âme de malheur faite avec des ténèbres »
« Je suis une force qui va !(...) Où vais-je ? Je ne sais. Mais je me sens poussé (…) un destin insensé ».
« Voici le doigt fatal qui luit sur la muraille ! / Oh ! Que la destinée amèrement me raille ! »
« Hélas sans le vouloir je te ferai du mal », « je noircirais tes jours avec mes nuits » « je te ferai du mal »
« ma haine s'en va ! »
« Qu'on m'ait fait pour haïr, moi qui n'ai su qu'aimer »
« si l'on pouvait mourir de trop aimer », « qu'un coup de poignard de toi me serait doux »
« Crois-tu donc que les rois à moi me sont sacrés ? »
« Je suis un homme heureux et je veux qu'on m'envie ! / Car vous m'avez aimé ! Car vous me l'avez dit ! Car vous avez tout bas béni mon front maudit. »
« ta parole est un chant où rien d'humain ne reste », « un ange du seigneur m'attendait sur le seuil »
« Oh ! Ne me nomme plus de ce nom, par pitié ! / Tu me fait souvenir que j'ai tout oublié ! (…) Je ne connais pas ce Hernani. (…) Je suis Jean d'Aragon, mari de Dona Sol. »
« Nommez moi Hernani ! Nommez moi Hernani ! / Avec ce nom fatal, je n'en ai pas fini ! »
DS :
« les prés, les fleurs, les bois, le chant du rossignol ».
« Cette heure ! Et voilà tout. Pour nous plus rien qu'une heure. » « Car cette heure est à nous et le reste est folie »
« je vous suivrai », « nous partirons demain », « je vous suis »..
« Qu'importe ! Je vous suis », « Je te suis, je veux ma part de ton linceul »
« J'ai besoin de vous voir, et de vous voir encore, / et de vous voir toujours »
« Pourquoi suis-je fait ainsi ? Je ne sais. »
« j'ai besoin de vous voir, et de vous voir encore »
« Souviens-toi que si tu meurs, je meurs. »
« le bandit c'est vous ! N'avez-vous pas de honte ! », « Si Dieu faisait le rang à la hauteur du cœur, / Certes, il serait le roi, prince, et vous le voleur ! »
« Savez-vous ce que c'est que Dona Sol ? Voyez-vous ce poignard ? Ah ! Vieillard insensé. Malheur si vous portez la main sur mon époux ! »
« Viens voir la belle nuit », « La nature veille sur nous amoureusement », « Pas un nuage au ciel ! Tout, comme nous, repose. / Viens respirer avec moi l'air embaumé de roses. »
« Ce serment ne vaut rien »
« Viens voir la belle nuit ! (…) Rien que la nuit et nous ! », « Viens respire avec moi l'air embaumé de roses ! »
« Souviens toi que si tu meurs, je meurs », « c'est la noce des morts », « c'est le dernier (baiser) peut-être »
« Nous dormons ! Il dort ! C'est mon époux, vois-tu, nous nous aimons... »
« vers des clartés nouvelles », « partons d'un vol égal vers un monde meilleur ! »
DC :
« un jeune sans barbe à la barbe du vieux »
« Moi ? A ce qu'il paraît / Je ne chevauchais pas à travers la forêt ! »
« J'ai vu dans sa belle âme / Tant d'amour, de bonté, de tendres sentiments / Que Madame, à coup sûr, en a pour deux amants », « Partageons ! »
« Je veux sa tête ou bien la tienne »
« Jamais roi couronné n'eut mine plus hautaine »
« La belle ! Je ne m'étonne plus si l'on aime un rebelle ! »
« les yeux noirs les plus beaux / deux miroirs ! Deux rayons ! Deux flambeaux ! »
« on devient ange ou monstre en vous touchant »
« voir sous soi rangés les rois », « assis à la table où Dieu leur sert le monde »
« Oh ! Si j'allais faillir ! », « Qui sera ma loi ? / Qui me conseillera ? », « Etre empereur ! Mon Dieu ! J'avais trop d'être roi ! »
« Verse-moi dans le cœur (...) quelque chose de grand, de sublime et de beau ! »
« Je t'ai crié : - par où faut-il que je commence ? / Et tu m'as répondu : -Mon fils, par la clémence »
« Tu l'as le plus doux et le plus beau des colliers (….) Tu vas être heureux ; moi, je suis empereur »
DRG :
« belle à faire à genoux tomber un pèlerin »
« Quand un vieillard aime, il faut l’épargner, / Le coeur est toujours jeune et peut toujours saigner »
« je ne suis qu’un vieux dont les jeunes vont rire ? »
« On est jaloux, on est méchant, pourquoi ? / Parce qu’on est vieux »
« ce n’est pas de mon temps ! »
« vous voulez qu'on dise (…) ce dernier fils d'une race si haute, / Fut un traître et vendit son hôte ! »
« un
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