Apartheid
Commentaire d'oeuvre : Apartheid. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Yasser yasser Arafat • 7 Novembre 2018 • Commentaire d'oeuvre • 863 Mots (4 Pages) • 803 Vues
PLAN DETAILLE
INTRODUCTION
I – MANIFESTATIONS DE L’APARTHEID
1 – Domination des blancs sur les noirs
2 – Abus des pouvoirs
II – CONSEQUENCES DE L’APARTHEID
1 – Les émeutes
2 La souffrance la mort
INTRODUCTIONS
L'Apartheid est un mot afrikans signifiant "vivre à part". C'est un système ségrégationniste basé sur la politique raciste du parti national. La ségrégation raciale correspond à la séparation de personnes selon des critères de races, de croyances ou de coutumes André Brink met en scène l’histoire dramatique de la famille Gordon et l’aventure de Ben Du Toit, toutes deux représentatives de l’histoire d’une Afrique du Sud meurtrie et divisée par l’apartheid. Une Saison blanche et sèche présente une intrigue nourrie par l’histoire de l’Afrique du Sud et, en se centrant sur les relations interraciales, notamment entre les Blancs et les Noirs. dans son œuvre intitulé Une saison blanche et sèche, nous présente plusieurs sous thèmes tel que la violence, l’apartheid, le réalisme et la justice ; le terme apartheid désigne une ségrégation raciale qui sévissait en Afrique du Sud entre les noirs et les blancs. Mais comment se manifeste-t-il dans l’œuvre ? Aurait-il des conséquences ? Ainsi, nous nous interrogerons sur les manifestations et les conséquences du régime de l’apartheid dans l’œuvre Une saison blanche et sèche.
I -MANIFESTATIONS DE L’APARTHEID
1 – LA DOMINATION DES BLANCS SUR LES NOIRS
Elle se manifeste dans l’œuvre par la restriction des libertés des hommes noirs par les blancs. Les blancs avaient restreint un certains nombres de liberté aux noirs. C’est l’exemple dans l’œuvre ou les noirs ne peuvent pas entrer dans un quartier blanc sans autorisation. Au-delà des violences que nous avons décrites, il convient de dire que l’espace porte les stigmates de la ségrégation sociale et que la violence intercommunautaire s’inscrit dans l’espace même. Le récit met au jour des interdits et dessine des zones d’exclusion dans la répartition et l’occupation des lieux : les territoires occupés par les Noirs sont infréquentables par les Blancs et forment un espace à part. La voix narrative et le personnage principal du roman s’accordent ainsi sur l’écart qui existe entre le lieu de vie des Blancs et celui des Noirs :
La maison d’Emily ressemblait à toutes celles de l’agglomération. Orlando West, ciment et tôle ondulée, petit jardin obstinément installé contre la route poussiéreuse. À l’intérieur, déploiement de vieux calendriers, d’images pieuses. Pas de plafond pour dissimuler le toit de tôle. Une table, des chaises, deux lampes à pétrole, une machine à coudre, un poste transistor (p. 117).
Plus loin, Ben Du Toit, conscient du privilège des Blancs par rapport aux Noirs, décrit avec un sentiment de culpabilité les différences
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