Analyse incipit Les Faux Monnayeurs
Fiche : Analyse incipit Les Faux Monnayeurs. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leafrozew • 15 Novembre 2017 • Fiche • 1 016 Mots (5 Pages) • 1 776 Vues
Analyse de l’incipit (Chap 1)
- Qu’apprend on dans l’incipit ? Incipit traditionnel ou original ? qui ?
-Bernard est présenté et la famille Profitendieu, (tous les individus). Ils sont six.
Cette apparitions du nom de famille apparaît plus tard. On s’identifie au personnage de Bernard. On dé zoom sur le personnage de Bernard ce qui nous permet de voir dans quel milieu social il évolue.
QUAND ?
On nous expose les occupations de chacun, et du cadre spatiaux temporel (début juin : bac, chaud)
-On introduit Olivier avec le monologue intérieur de Bernard -> Son nom de famille apparaît plus tard. ( car on est dans les pensées d’Olivier)
-Dhurmer est introduit, personnage lié secondaire.
-Lucien Bercail est introduit ? Olivier aime bien Bercail et donc ne va pas vers Lucien.
-Des figures ne sont pas précisées (camarades)
-> présentation incomplète. La narration n’est pas omnisciente, elle est interne.
QUAND ?
-mercredi après-midi, vers 1910, avant la première guerre Mondiale. Information pas très précise.
-Jardin du Luxembourg à Paris
-Les trois partie montrent le cadre spatiale
La lecture de l’incipit, Gide appel la participation active, du lecteur, et c’est une des caractéristique de Gide.
Selon Gide : « tant pis pour le lecteur paresseux, j’en veux d’autres. Inquiéter, tel est mon rôle » page 86 ; Journal des Faux monnayeur
Cet incipit nous plonge dans la subjectivité de Bernard. C’est un point de vue interne, on rentre dans la conscience du personnage.
(accumulation de pdv = point de vue omniscient)
-Mais le point de vue omniscient intervient très vite a partir de la mention du nom de famille : »Profitendieu »
-Parfois une autre voix ce fait entendre, qui est celle du narrateur : utilisation de la 1ere personne du pronom personnel « je », 15,32, « je ne sais » - quand le narrateur intervient il utilise le présent alors que le reste est au passé. On a une multiplicité des PDV, pour déstabilise le lecteur.
-Gide refuse de commencer son roman de manière traditionnel (Balzac, Flaubert)
2)un roman nouveau
*UN Incipit parodique.
Décalage parodique : « c’est le moment de croire que j’entends des pas das le corridor »le personnage se rend compte qu’il en est un, il joue un rôle => parodie de l’incipit, car dans un roman traditionnel on aurait eu « j’entend des pas » ;
Parodie du roman policier : Initiale de l’amant de sa mère qui peut être une piste pur un roman
Policier mais c’est une fausse piste.
Le romancier utilise des clichés pour mieux sans détourner et pour rompre avec ce qu’on attend d’un roman traditionnel.
- Un roman a apprentissage : suit une personne jeune qui apprend les choses de la vie. Bernard fait une recouverte et va bouleverser sa vie et ça nous entraîne dans un roman d’apprentissage (quitte sa maison et se débrouille seul) Il suit un chemin initiatique.
- Il quitte le domaine familial et Transgresse l’autorité parentale.
Bernard
Le roman s’ouvre sur Bernard, comme seul protagoniste de l’histoire.
Il se cherche au long du roman, en quête sur lui-même , une nécessite paternelle.
Bernard a besoin d’authenticité.
Bernard ne donne un rôle, il reste indéterminé. Part de mystère sur perso : on connaît pas identité du père.
Parcours perso :
Ado 18 ans, il est fier, spontané généreux.
Il fuit son domicile familial.
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