APPROPRIATION
Commentaire d'oeuvre : APPROPRIATION. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar faaaattttt • 26 Mars 2020 • Commentaire d'oeuvre • 695 Mots (3 Pages) • 464 Vues
Les Hopitaux
Universitaire
de PARIS
Médecin Psychiatre
: DIALLO FATOU
Monsieur DERVILLLE
22 rue du Levand
91000, Paris
Paris,le 07 septembre 1830
Objet : La Pathologie de Jean Esther GOBSECK
Bonjour Mr Derville, j’aimerais d’abord vous présenter mes sincères condoléances du décès de votre cher ami Jean-Esther GOBSECK. Perdre un ami est une épreuve difficile, mes pensées sont avec vous, le deuil est une période de douleur mais aussi de douceur. Le Deuil est un temps ou la spiritualité touche notre cœur, que l’on soit croyant ou non-croyant. Votre ami était un homme bon, un homme juste, que Dieux le récompense pour sa foi et lui offre une vie éternelle au Paradis des Hommes Justes.
Je me présente je suis la psychiatre Diallo Fatou, et je connaissait bien votre ami car c’était mon patient et donc je vous fait cette lettre pour vous avouez que Mr Gobseck était atteint du syndrome de Diogène ce syndrome est une syllogomanie ou accumulation compulsive, c’est le fait d’accumuler de manière excessive des objets (sans les utiliser). Vous allez sans doute me demander comme j’ai pu être au courant sachant que Mr Gobseck se déplacer pour venir me consulter à mon cabinet.
Je me suis rendu 2 fois chez lui quand t’il avait pas la force de se rendre dans mon cabinet. Et c’est la que j’ai pu constater que son habitat n’était pas favorable, tout était encombré dans un coin, beaucoup de livre, des draps, une odeur affreuse. C’est de la que j’ai commencé a me douter de quelques chose. Dans un premier temps je ne pensais pas à ce syndrome, mais au fur et à mesure des consultation j’ai pu comprendre que quelque chose n’allait pas et j’ai voulu en savoir plus sur la vie sociale de Mr Gobseck.
Plus les jours passaient et plus Mr Gobseck se renfermer et cela était un des point primordial du syndrome. Le patient essaye de restreindre le plus son cercle d’ami, il a une vie sociale presque inexistante. Le seul ami que Mr Gobseck avait, s’était vous Mr Derville, mais je vous rassure, vous n’êtes en rien responsable de son décès au contraire c’étais une chance que vous étiez présent à ses cotés.
Sachait que je serais toujours présent pour vous quoi qu’il arrive, vous pouvez me rendre visite dans mon cabinet.
Cordialement,Dr DIALLO
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