Comment s’approprier le programme de philosophie?
Cours : Comment s’approprier le programme de philosophie?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar trudypantoufle • 21 Octobre 2016 • Cours • 2 025 Mots (9 Pages) • 797 Vues
PHILO
Comment s’approprier le programme de philosophie?
1ere règle d’appropriation
Il faut faire des liens entre notions et thèmes
Pour cela il faut un point commun. Les notions regardent toute dans la même direction, celle du Nous, de l’Homme. La question nous sommes quelque chose, quoi? Est une question qui questionne n’importe quelle notion.
Quelle est la chose que je suis? Mais aussi ce que je ne suis pas?
2ème règle d’appropriation
Il faut un fil conducteur, il concerne la connaissance des choses que nous ne sommes pas et de la chose que nous sommes.
3ème règle d’appropriation
Par quel thème et notion commencer et par lequel finir?
-1er élément historique, tous les philosophes se sont intéressés aux sciences mathématiques, physiques et logiques.
-2ème élément de réponse étymologique (la racine du discours)
Définitions
Prédicat : ce que je dis du sujet
Vérité : dire ce que la chose est en elle même.
Philia : Amitié/amour
Sophia : La connaissance des choses en elles-mêmes et pour elles-mêmes
Juger : C’est lier un prédicat à un sujet, c’est la faculté de la raison et la faculté des liens
Jugement : Quantité : le sujet est prit en totalité ou en partie
Qualité : il est affirmatif ou négatif
Raisonnement : Raisonner c’est déduire d’un premier jugement un second. C’est donc faire un lien logique non contradictoire donc pensable entre 2 jugements.
La raison : Faculté des concepts, des jugements, des raisonnements.
La logique : Science qui a pour objet d’étudier les formes et la pensée, abstraction de tout contenu ; Etudie les formes du discours abstraction des choses dont on parle.
La déduction : C’est un usage non-contradictoire d’un discours
Concept : C’est la représentation des caractères communs à une multiplicité diverse car appartenant à un même discours.
Il y a 6 formes de logique de jugement : - Le jugement affirmatif total
- Le jugement affirmatif particulier
- Le jugement affirmatif individuel
- Le jugement négatif total
- Le jugement négatif particulier
- Le jugement négatif individuel
Avec les concepts on fait des jugements, avec des jugements on fait des raisonnements.
3 actes pour former un concept
- Abstraction
- Comparaison
- Représentation
Notre réflexion doit suivre un mouvement non contradictoire, doit observer une règle mais qui rend possible l’exercice de la réflexion c’est la règle de la non-contradiction.
A priori : Avant et pour toute expérience.
Le fait : c’est ce qui est donné à constater dans l’expérience sur le mode de la contrainte.
Le droit : C’est un devoir, ce qui doit être fait, voulu ou alors pensé
Jugement : Acte de la raison qui consiste à lier au moyen de la copule être, un sujet ou un prédicat sur deux modes négatif ou affirmatif.
Conformité réciproque : La marque d’une opinion vraie se repère à cette conformité de la chose à ce que je dis et de ce que je dis à la chose.
Origine : Ce qui est premier selon la raison du temps, la raison de l’antériopostérité. La connaissance est dépendante, elle est seconde et l’expérience est première.
Particulier : ce qui est relatif à un ici et un maintenant. L’opinion est vraie selon un ici et un maintenant. L’expérience est spatiale et temporelle.
La conformité de toute opinion à la chose est a postériori empirique et particulière
Empirique : Au point de vue de l’origine de l’expérience.
Particulière : Questionne le rapport à l’origine à l’expérience qui est de dépendance totale. Origine spatio-temporelle .
Contingent : Ce qui peut être autrement et cela sans contradiction.
Toute opinion est à posteriori c’est à dire : empirique, particulière et contingente.
Toute opinion est vraie dès lors quelle est conforme à ce qui dans la chose est sensible et perceptible par la faculté de la sensibilité -> les sensations
L’opinion vraie est un jugement qui se fonde sur la faculté de la sensation depuis laquelle j’ai accès à l’être sensible de la chose.
Connaissances objectives : La connaissance des caractères qui appartiennent à la chose et qui ont donc fondé en la chose.
Connaissance subjective : Connaissance des caractères exclusivement fondés sur le sujet. La connaissance des caractères dépend de nous.
La sensation : C’est l’union d’un objet senti et d’un sujet sentant. Les sensations : C’est la manifestation sensible de la chose dans l’expérience
La connaissance que j’ai immédiatement des choses est sensible car elle révèle les caractères sensibles des choses.
Affection : l’effet que la chose produit sur les organes sensoriels.
L’idée pour Platon : Une chose qui n’est que ce qu’elle est. Une chose qui n’est que ce qu’elle est.
Union : Rassemblement en un lieu commun de deux choses distinctes.
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