AL-Ghariba de Farjallah Hayek

Test de lecture SE

1. Choisissez la bonne réponse.

-  Le nom du romancier de l’œuvre que vous avez lue est :

1. Farjallah Haik                        b) Amin Maalouf                c) Alexandre Najjar

- L’auteur est un écrivain :

1. Libanais francophone.
2. Egyptien francophone.
3. Syrien francophone.

- La traduction du titre du roman en français est :

1. La paria.                b)  L’étrangère.                c) L’inconnue.

-  Le roman est composé de :

1. 2 parties.                b) 3 parties.                c) 4 parties.

-  Le lieu où se déroulent les actions du récit est :

1. Une grande ville.
2. Une petite ville côtière.
3. Un petit village montagnard.

- L'autre pays mentionné dans le roman est :

1. Beyrouth.
2. Brésil.
3. Bériz.

- L'activité principale des habitants est :

1. La menuiserie.        b) Le commerce.                c) L’agriculture.

2. Qui suis-je ?

Majid - Boulos - Ernestine - Anis - Elias Nemetallah - Slayman.

1. Je suis le curé de l’église Mar-Zakka. Je suis marié et j’ai deux fils. J’ai travaillé comme menuisier puis je suis devenu curé suite à un vœu que j’ai fait quand mon enfant était malade.

Je suis………………

1. Je suis l'aîné du curé. Je suis tombé gravement malade étant enfant. Je suis devenu cordonnier, je gagne bien ma vie et j’ai contribué largement aux dépenses de mon frère qui vivait à l’étranger.

Je suis………………

1. Je suis le benjamin du curé. J’ai voyagé à l’étranger pour continuer mes études et découvrir l’Europe. Je sui avocat et j’ai épousé une fille de cabaret.

Je suis………………

1. Quand j’étais jeune, j’ai fait un faux pas : j’ai travaillé dans un cabaret. Après mon mariage, j’ai retrouvé dans le lieu natal de mon mari une sorte de paix intérieure. J’ai été rejetée par les habitants qui me considéraient responsable de tous les maux qui leur arrivaient.

Je suis………………

1. J’ai un journal, chose très rare à l’époque dans la région où j’habitais. C’était un petit journal fait pour les émigrés qui vivaient loin et qui aimaient avoir de temps en temps des nouvelles de leur terre et de leurs familles. Je suis rusé, malhonnête et très matérialiste.

Je suis………………

1. Je suis le parrain du benjamin du curé. Je suis une grande autorité là où je vis.

Je suis.................

3. Remettez dans l’ordre les énoncés suivants pour restituer le résumé du roman :

Remettez dans l’ordre les énoncés suivants pour restituer le résumé du roman :

A- Le curé est allé pour savoir quoi faire chez le sage du village.  Ce dernier lui assura que ce fait n’est pas la fin du monde, et qu’il est nécessaire que cette nouvelle fille soit acceptée et aimée par la famille entière et qu’elle soit bien reçue et traitée par le curé du village. Ce dernier, dans une lettre, propose à son fils plusieurs conditions nécessaires s’il veut revenir dans son pays natal. 

B- Le village s’est alors divisé entre ceux qui ont voulu pour le progrès et ceux qui se complaisaient dans leurs vies passées ! C’est dans cet enchainement du récit que le journaliste et l’éditeur libanais, homme matérialiste et opportuniste, commence à attiser l’opinion publique du village pour conserver l’état ancien du village, non par amour de la tradition mais pour le soi-disant but d’échouer les projets du benjamin du curé et de son associé. Pour atteindre son but il emprunta mille et une ruses pour convaincre les habitants du village de son point du vue ; il mit alors sa parole dans la bouche du prêtre à l’église, fit signer des papiers contre le changement qu’il présenta au gouvernement et alla même jusqu'à user de la sainteté du Saint Charbel !

C- Un curé vivait paisiblement avec sa femme et ses deux fils.   Un jour, le benjamin a pris la décision de quitter son pays dans le but de continuer ses études, et pour faire la connaissance de l’Europe, le monde le plus civilisé  où l’homme puisse trouver travail et vie de rêves. Là-bas, il a rencontré une femme de cabaret qui devint son épouse. Nouvelle reçue chez dans son pays natal…Une terrible panique !  « Comment ce jeune homme a-t-il eu le courage de prendre telle décision ? Comment a-t-il pu renoncer aux traditions ? »,« Ingrat ! » : Son père disait. Répandue, cette nouvelle fraya chemin de bouche en oreille.

D- Quant à la femme du benjamin du curé, elle aimait ce village, et adorait ses traditions et faisait son mieux pour les apprendre. Elle refusait les projets de son mari qui consistent à détruire ces traditions et rendre le village, « Un homme dépourvu de son âme ». La haine des gens l’ a poussée à fuir dans la nature montagnarde au moment où une tempête se déclenche, elle disparut dans les prés…

E- Le cadet revint dans son pays natal sans recevoir la lettre, dans la tête des projets pour remettre le lieu de son enfance sur le plan de la prospérité, mais cette évolution a satisfait certains citoyens comme elle a provoqué le mécontentement de certains autres !  le curé, de nouveau, relit les conditions et oblige son fils de les accepter. Dans le village, plusieurs ont refusé les propositions du fils du curé et de son associé et plusieurs opinions se firent entendre.

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