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El ingenio, diego rivera

Commentaire d'oeuvre : El ingenio, diego rivera. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Avril 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  2 677 Mots (11 Pages)  •  1 938 Vues

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Fiches de français

  • Le siècle des lumières:

-Désigne de façon métaphorique un courant intellectuel et philosophique qui s’est développé en Europe au XVIIIe siècle.

-Période de profondes mutations intellectuelles et morales et de vive de contestation politique, sociale et religieuse qui s’achève par un événement majeur La Révolution Française.

  1. Héritage et contestation:

Héritier de l’humaniste de la renaissance

-Place l’homme au centre de la réflexion.

-S’inspire du libertin du XVIIe siècle qui refuse les dogmes et se caractérise par sa profonde indépendance d’esprit.

-critique les institutions politiques religieuses, à lutter contre le fanatisme, l’obscurantisme et l’intolérance

-compose des œuvres littéraires polémique critique de l’intolérance dans les lettres persanes de Montesquieu en 1721, satire des guerres absurde et de l’inquisition dans candide de Voltaire en 1759, dénonciation des privilèges de la noblesse dans le mariage de Figaro de Beaumarchais en 1784.

-Écrasons l’infâme est la devise du compteur philosophe qui intervient dans des affaires judiciaires pour réhabiliter les victimes du fanatisme religieux en 1762 affaire Callas ; en 1765-1766, affaire du chevalier de la barre.

  1. Philosophes écrivains :

–Une fois dans le progrès humain

–nouvelles valeurs : le bonheur fondé sur une harmonie individuelle et collective comme celle qui est évoqué dans l’eldorado du chapitre 18, la liberté contre l’oppression religieuse et politique contre la censure, l’égalité contre toutes les formes d’exploitation telles que l’esclavage, et la tolérance incarné par le personnage de l’anabaptiste Jacques au chapitre trois

-valeur autour d’un axe majeur la raison critique qui détourne l’esprit des préjugés et des dogmes.

-les écrivains prennent des libertins avec les formes traditionnelles pour leur préférer des genres plus légers.

  1. Diffuser la connaissance :

–L’encyclopédie dirigée par Diderot et d’Alembert est née de la volonté de faire la synthèse de toutes les connaissances humaines pour les diffuser auprès d’un large public. Cet ouvrage incarne le projet humaniste des lumières.

-les salons tenus par les femmes cultivées comme Madame de Tencin ou mademoiselle de Lespinasse, sont des lieux où les philosophes débat dans une atmosphère raffiné. Il favorise la liberté de pensée et la diffusion des idées nouvelles

–les académies contribuent aussi à la diffusion du savoir comme journal des savants, mercure de France. Dans les premiers cafés, comme le Procope ou le café de la régence, philosophe et curieux se rassemblent pour parler de théâtre ou de politique.

  • Les lumières : valeur et combat des philosophes du XVIIIe siècle :

  1. Un mouvement européen :

–Vaste mouvement européen du XVIIIe siècle, caractérisé par un bouleversement profond dans la manière de penser d’appréhender le monde est l’homme.

–Les intellectuels correspondent entre par l’intermédiaire de Voltaire surnommé l’aubergiste de l’Europe.

–Auteur font publier leurs textes en Hollande (premier foyer d’édition européen) Échappant ainsi parfois à la censure de leur pays d’origine.

–C’est effervescence intellectuelle est favorisée par un contexte socioculturel nouveau.

–L’émergence d’une bourgeoisie aisée remet en question le système social des privilèges. De multiples avancées scientifiques et techniques permettent de croire aux progrès et trouveront un formidable écho dans l’encyclopédie.

-sens figuré les lumières désigne les connaissances, le savoir, qui éclaire l’homme sur la voix de la raison.

–L’allemand Emmanuel Kant résume c’est idéal ainsi « et le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des lumières ».

  1. Le philosophe des lumières :

–Le philosophe et celui qui aime la sagesse.

–Il est en partie l’héritier de l’honnête homme classique.

–Les philosophes des lumières incarne un esprit critique selon lequel tout doit pouvoir se vérifier par la raison.

-célébrant la liberté il s’oppose à toutes les formes d’oppression.

–Célébrant la tolérance, ils aiment adopter le point de vue de l’étranger qui permet de relativiser l’importance des mœurs et des coutumes occidentales.

–Célébrant le progrès, il croit au bonheur individuel et collectif

-le philosophe est enfin un homme d’engagement, le modèle même de l’intellectuel investi dans la vie de son époque.

-cet engagement, les philosophes le paient Parfois du prix de leur hiver thé, en connaissant la prison, l’exil, les condamnations des autorités politiques ou religieuses.

–Les philosophes appartiennent à une élite sociale certain, des aristocrates ou à la bourgeoisie d’affaires aisée.

  1. Un combat social, politique et religieux :

–Constitué de trois états (la noblesse, le clergé et le tiers État)

-Repose sur un système de privilèges, profondément contestée par les lumières.

–Le système politique est tout autant la cible des critiques des lumières. La France, depuis le règne de Louis XIV, vit sous le régime de la monarchie absolue et héréditaire de droit divin.

–Diderot dans son, article de l’encyclopédie intitulé autorité politique dénonce le caractère tyrannique d’un tel système.

-philosophe=monarchie parlementaire sur le modèle anglais

-le culte de la raison par les philosophes s’accommode enfin très mal de la plupart des pratiques religieuses. Néanmoins, peu de philosophes sont franchement athée, à l’exception de Diderot ou d’Holbach qui se réclament du matérialisme.

–Voltaire et déiste : crois en un être supérieur mais condamne tous les rites religieux.

-les philosophes constatent également des contradictions entre les paroles religieuses et les actes.

–La religion seulement ne dit mot sur le commerce triangulaire esclavage, mais encore, bien souvent, il participe en convertissant de force les esclaves.

-le bonheur doit s’acquérir ici et maintenant, émerge une sensibilité nouvelle.

  1. L’arme de la littérature :

Les philosophes sont part de la littérature comme une arme pour s’adresser au plus grand nombre, vulgariser des connaissances des problématiques souvent complexe et transmettre les idées nouvelles.

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