Blue face baby

La ville, des gratte-ciel à perte de vu, du bruit a ne plus s’entendre parler et une population en constant mouvement.  Les humain on créé cette endroit d’utopie pour se rapproché et se protéger, mais parfois cette endroit fait tout le contraire. Le roman Les heures souterraines de la romancière Delphine De Vigan, montre le mauvais coté de cette création de l’homme. Mathilde et thibault. Les deux personnages se font détruire par la ville à petit feu. De façon plus précise, Mathilde et Thibault voient la ville comme un endroit extrêmement intimidant et comme un endroit extrêmement morose.

La ville est un endroit extrêmement intimidant. En effet, le chaos règne dans le déplacement dans la ville. La gradation « Il dégorge, régurgite, libère le flot, quelqu’un crie «laissez descendre», on se bouscule, on piétine, c’est la guerre, c’est chacun pour soi» explique bien l’anarchie qui règne au cœur des transports en commun. Le mot péjoratif «guerre» semble faire allusion au danger que représente prendre les transports pour se rendre en ville. L’énumération « dix ans d’embouteillages, de feux rouges, de souterrains, de sens uniques, de stationnement en double file » met bien en relief la difficulté de ce déplacer en ville. Cette difficulté est causée par le manque d’harmonie et de cohésion dans la ville. Ce chaos apporte un sentiment oppressant de solitude. Le paradoxe « Ce territoire infini d’intersections, où l’on ne se rencontre pas » met en relief que malgré le fait que tout le monde en ville se croise et se bouscule, personne ne se parle, tout le monde se retrouve seul dans leur petit monde. Procédé … Bref, cette solitude crée par le chaos qui entoure la population rurale apporte un sentiment de morosité.

La ville est alors un endroit extrêmement morose et sans vie. En effet, la ville est un endroit complétement déshumaniser malgré l’abondance d’humain. La métaphore « p.68 » explique bien la déshumanisation que crée la routine. De plus l’utilisation du mot Playmoblie mais en relief le fait que en fait il n’est qu’un jouet avec qui la ville peut manipuler sans relache. La métaphore « p.62 » explique le fait que sans aucun contact humain, les homme sont comme un seul regroupement sans aucune interaction. Une seul masse sans aucun sentiment. En d’autre mot, snas contact nous perdons tout sontre humanité. Cette déshumanisation, apporte un sentiment de routine de routine ennuyante écrasante. La métaphore p.74

Paradoxe p.73

Conclu ne pas oblier de changer les mots en terme différent+ouverture claire.      

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