D’Artagnan cas
Dissertation : D’Artagnan cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alessandragori • 27 Septembre 2015 • Dissertation • 483 Mots (2 Pages) • 737 Vues
Pourtant, leur attitude face au danger, c’est-à-dire leur courage, est sensiblement différente : D’Artagnan est celui qui semble avoir le moins peur, puisqu’il accepte un duel alors que c’est interdit, le Royaume est alors un ennemi en plus des trois mousquetaires. Malgré cela, il semble détendu puisqu’il se paye le luxe de plaisanter, et même fair-play puisqu’il rend hommage avec élégance à ses adversaires, qu’il décrit comme de « braves gentilhommes »( l. 22 et 28). Georges Duroy quant à lui n’est pas du tout détendu, il ne parle pas avant et reste concentré sur son action. On met du temps à lui enlever » son arme qu’il tenait toujrous serrée dans sa main », (l.28) sa joie extrême à la fin montre qu »il a eu réellement peur, et qu’il n’hésite pas a se croire brave : » il se sentait brave tout à coup à provoquer n’importe qui » : le narrateur a une vision dépréciative du personnage. Fabrice est entre les deux : certes il semble en premier lieu avoir eu peur puisqu’il prend la fuite « en courant de toutes ses forces » (l.11), mais ensuite, il se retourne et s’affronte au personnage avec courage, puisqu’il est mal armé, même s’il le fait en légitime défense. Pour ce dernier cas, le narrateur a choisi un détail psychologique curieux en montrant que la cause du coup final, est moins le courage en lui même qu’une inquiétude narcissique.Pourtant, leur attitude face au danger, c’est-à-dire leur courage, est sensiblement différente : D’Artagnan est celui qui semble avoir le moins peur, puisqu’il accepte un duel alors que c’est interdit, le Royaume est alors un ennemi en plus des trois mousquetaires. Malgré cela, il semble détendu puisqu’il se paye le luxe de plaisanter, et même fair-play puisqu’il rend hommage avec élégance à ses adversaires, qu’il décrit comme de « braves gentilhommes »( l. 22 et 28). Georges Duroy quant à lui n’est pas du tout détendu, il ne parle pas avant et reste concentré sur son action. On met du temps à lui enlever » son arme qu’il tenait toujrous serrée dans sa main », (l.28) sa joie extrême à la fin montre qu »il a eu réellement peur, et qu’il n’hésite pas a se croire brave : » il se sentait brave tout à coup à provoquer n’importe qui » : le narrateur a une vision dépréciative du personnage. Fabrice est entre les deux : certes il semble en premier lieu avoir eu peur puisqu’il prend la fuite « en courant de toutes ses forces » (l.11), mais ensuite, il se retourne et s’affronte au personnage avec courage, puisqu’il est mal armé, même s’il le fait en légitime défense. Pour ce dernier cas, le narrateur a choisi un détail psychologique curieux en montrant que la cause du coup final, est moins le courage en lui même qu’une inquiétude narcissique.
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