Idea of progress, plant's environment

Idea of progress

Nous allons traiter la notion Idée de progrès. Le progrès permet au monde d'évoluer, de changer pour le mieux, de se développer par le biais de découvertes et d’innovations scientifiques, technologiques et techniques. Pourtant, cette évolution n’est pas méliorative pour tous. Le progrès est également marqué par des dérives, une prise de risques, des déséquilibres sociaux, économiques… Certains progrès sont d’ailleurs remis en cause. Nous pouvons alors nous demander quel a été l’évolution de l’environnement de la planète et des conditions de vie des humains. Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps à quel moment les humains ont pris conscience de l’évolution néfaste du progrès sur l’environnement de la planète, puis dans un second temps nous verrons les conséquences dans les années 90 de cette évolution, et enfin nous verrons dans un troisième temps quels moyens ont étés mis en œuvre pour résoudre ce problème.  Nous nous aiderons des deux documents suivants : « Earth Day » et le discourt de Sevem Suzuki pour l’ECO en 1992.

         Avant les années 70, la pollution de l’air était acceptée par tous comme l’odeur de la prospérité. Une des premières fois où l’humain s’est réellement questionné sur l’avenir de la planète à été dans les années 60 lors de la parution du  New-York Times en 1962 où Rachel Carson, auteur et biologiste, écrit un article pour sensibiliser le public en parlant de l’évolution à venir de l’environnement. Elle cherche à ce que les humains commencent à se préoccuper de la Terre, de son environnement, des êtres vivants et des conséquences de la pollution sur les êtres vivants.

        Cependant peu d’êtres humains en on prit compte ; arrivé dans les années 90, le taux de mortalité des animaux a augmenté fortement à cause de la pollution, des animaux sont en voix d’extinctions et parfois même disparu, de plus en plus de personne sont touchés au niveau de la santé a cause de la pollution. Mais il existe des personnes comme Sevem Suzuki ; Cette dernière a fait un discourt à l’âge de 13ans pour l’ECO en 1992. Ce discourt était poignant car elle parle des enfants qui meurent de faim mais que l’on n’entend pas et des animaux qui se retrouve de plus en plus chassés de leur territoire. Son discourt à pour but de faire peur à la population, de la faire réagir et de sauver les générations à venir.

        Aujourd’hui, les choses tentent à changer ; beaucoup d’associations ont étés misent en place pour la famine, l’environnement ou encore la pauvreté. La « Journée de la Terre », qui se rapproche de ses 50ans, tiens à atteindre pour 2020 (lors de sa 50ème année d’existence) l’objectif suivant : planter 7,8 milliards d’arbres. Son objectif n’est pas seulement pour contrebalancer la déforestation, cet objectif cherche aussi à sensibiliser la population, trouver des donateurs et des bénévoles pour ce projet.

        Malgré cette prise de conscience et ces actions pour améliorer l’évolution de l’environnement de la planète et les conditions de vie des êtres vivants, les firmes transnationales sont les premières à fausser l’amélioration de cette évolution. Nous pouvons maintenant nous demander quelles actions ont été misent en œuvre pour modifier l’activité néfaste des firmes transnationales sur l’environnement de la planète.

We will treat the Idea of progress. Progress allows the world to evolve, to change for the better, to grow through discoveries and scientific innovations, technology and techniques. However, this evolution is not ameliorative for all. Progress is also marked by excesses, taking risks, social, economic imbalances ... Some progress is also being questioned. We can then ask ourselves what was the evolution of the global environment and the living conditions of humans. To answer this question, we will see initially when humans have become aware of the negative evolution of the progress on the environment of the planet, and then in a second time we will see the consequences in the 90s this evolution, and finally we will see in a third phase which means summers are implemented to solve this problem. We help the following two documents: "Earth Day" and the discourses of Sevem Suzuki for CEE in 1992.

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