Devoir 1 anglais CNED

SEPULVEDA Kévin                                               Anglais : Devoir n°1                                              04/11/2019

BTS Communication 2°A

Partie 1 / Compte rendu.

Tout d’abord cet article est écrit par Alana Semuels une journaliste américaine pour le journal The Atlantic, cet article date du 20 avril 2018. Le thème principal de celui-ci est la contrefaçon et notamment sur le site d’Amazon.

Alana commence l’article en nous racontant qu’il y a une dizaine d’années alors qu’elle était journaliste pour le Los Angeles Times, elle se trouvait dans le centre de Los Angeles avec Chris Johnson, un avocat représentant la marque de jeans True Religion afin de chercher des contrefaçons de la marque. Après différentes boutiques, il se trouvait que dans certaines d’entre elles le gérant du magasin les emmenait dans l’arrière-boutique afin de leur montrer des contrefaçons de la marque, Chris Jonhson les achetaient donc afin de les inspecter et verifier s’ils étaient vraiment contrefaits.

Alana continue son article en nous parlant des sites internet comme Ebay ou surtout Amazon qui de nos jours ont conduits à une multiplication des produits contrefaits car difficilement vérifiables. Johnson à récemment confié à Alana qu’ « Amazon a rendu extrêmement difficile l’application des lois contre les contrefacteurs ». Il est évident qu’Amazon n’est pas le seul fautif puisqu’il y d’autres sites d’e-commerce tels que que Wallmart ou Newegg qui permettent cette multiplication des contrefaçons. Néanmoins tout ces sites affirment qu’ils appliquent des procédures très strictes afin de lutter contre les contrefaçons.

En 2007, les douanes ont enregistré 13 657 saisies de produits portant atteinte aux propriétés intellectuelles. L’année dernière, soit 10 ans plus tard le chiffre a augmenté à 34143 saisies.

Pour sa défense Amazon affirme que son offre est une plateforme pour les vendeurs plutôt qu’un vendeur lui-même. Néanmoins Amazon compte bien montrer sa détermination à lutter contre cette contrefaçon en investissant des ressources considérables, notamment une équipe présente 24h/24 7jours/7, ses systèmes automatisés ont également étés améliorés afin de détecter plus facilement les violations du droit d’auteur. Amazon s’est également associé à des marques comme Vera Bradley et Otter Products pour intenter des poursuites contre des entreprises vendent des contrefaçons sur son site.

Malgré toutes ses mesures, Amazon fait face à de nombreuses poursuites d’entreprises ; ce fut notamment le cas en 2016 par Daimler AG, la société mère de Mercedes-Benz qui a accusé Amazon d’avoir « réalisé des profits » en vendant des roues qui violaient les brevets de Daimler. L’année dernière le directeur général de Birkenstock a accusé Amazon de « piratage des temps modernes » pour avoir autorisé la vente sur son site de façons contrefaites des chaussures de sa société, il a donc retiré sa marque d’Amazon.

Enfin au Tennesee, une famille a accusé Amazon de l’avoir vendu une version contrefaite d’un Hoverboard qui a conduit à un départ d’incendie et à la perte de leur maison ce que Amazon conteste affirmant que c’est uniquement le site web sur lequel un tiers vendeur a publie l’hoverboard, et non le vendeur du produit lui-même.

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Partie 2 / Interaction écrite.

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