Cours carmen

Ophélie

DJEDJE

Nous allons étudier cinq textes présent au sein d’un corpus dans des extrait, d’essai ou de roman tel que :              << seul ensemble >> de Sherry Turkle écrit en 2011, << Carmen >> de Stromae écrit en 2013, << L’Ere du vide >> de Giles Lipovtsy un essai écrit en 1983, << Ensemble, c’est tout >> de Anna Gavalda en 2004

Ces textes présentent un thème commun celui de la solitude collective présente dans la société que nous étudierons en s’interrogeant sur le message que les auteur(e)s veulent nous faire comprendre.

La problématique relevée dans ce corpus est :

La solitude mène dit-elle à une sorte d’individualisme ?

Tout d’abord, l'isolement peut survenir dans notre vie à tout moment. Ce sentiment de solitude se déclenche pour diverses causes : une addiction aux réseaux sociaux,  la satisfaction personnelle.. Les raisons sont multiples et ne se ressemblent pas. Le contact humain se fait rare de nos jours et l’apparition de nouvelles technologies ne facilite pas pour autant la communication qui doit être établie, du moins c’est ce qu’on a tendance à croire. En effet, nous pouvons présumer que pour se sentir moins seul on a  tendance à  se créer une routine qui devient par la suite une habitude malsaine de vouloir sans cesse alimenter ou remplir le vide de la solitude que nous avons-nous même créé lorsque nous avions décidé de nous couper du monde réel . Les réseaux sociaux ont une place importante dans la vie de certaine personne, car effectivement l’apparition de ces réseaux sociaux ont comme premier objectif de nous permette de sociabilisé avec d’autre personne sont enfaite des outils qui nous envahissent petit à petit et qui brise nos relations  faisant apparaitre notre dépendance accrue aux smartphones à préférer les interactions médiatisées à celles en tête-à-tête - considérées comme trop risquées et trop exigeantes.

D’une autre part, nous sommes tous victime de cet état d’esprit d’individualisme, car les réseaux sociaux  semble être caractériser  comme un cercle vicieux qui emporte chaque personne vers la même direction c’est-à-dire plus précisément, vers l’addiction qui se manifeste par le désir d’avoir le plus de contacts possibles ainsi que les personnes qui nous suivent sur le net. Il y a une obsession compulsive du nombre comme si être aimé dépendait du nombre de << j’aime >> que nous pouvons << récolter >>. Malheureusement c’est une illusion car, au lieu de créer un lien social, au contraire, nous nous retrouvons  de plus en plus seuls. Le désir d’être populaire n’a rien à voir avec la véritable amitié, ou le véritable amour. Chacun décide de se construit une image de soi, en voulant se rendre intéressant en postant des selfies ou des vidéos , on partage des détails de notre  vie quotidienne sans jamais développer une vraie relation humaine. Les réseaux sociaux, nous empêchent d’être libres et contrôle d’une façon notre  manière d’agir  ou de s’exprimer. L’hypocrisie des relations virtuelles mènent à la perte de d’une vie sociale réelle.

                             La personnalité narcissique ne renvoie pas à une personne qui s'aime plus que tout, mais à un type de personnalité tellement fragile qu'elle a besoin d'un soutien constant. Le besoin pertinent de s’exprimer est une façon pour ces personnes de pouvoir émettre leur penser en toute liberté avec des individus semblable à eux qui partagent les mêmes opinions. La communication ce fait sans cesse grâce à plusieurs domaines qui nous mène à prendre contact avec l’être humain, la parole est perçu comme un moyen qui exige une reconnaissance afin de laisser une trace de son identité. Nous pouvons relever que l’individualisme se crée lorsque que des différences sont perçues dans un groupe , effectivement le fait de se mélanger avec des personnes qui ne nous ressemble pas diffère sur un échange possible or la différence ne devrait pas être un obstacle de communication mais un élément qui nous permet de nous rapprocher et de nous souder  

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