Qui a tué mon père, Edouard Louis
Chronologie : Qui a tué mon père, Edouard Louis. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Hoda Hoda • 23 Mars 2020 • Chronologie • 1 122 Mots (5 Pages) • 1 672 Vues
COMMENTAIRE
A partir du milieu du XXe siècle apparait le Nouveau Romain, un mouvement littéraire qui cherche a renouveler les formes d’écriture traditionnelles. Edouard Louis est un romancier contemporain qui cherche aussi a expérimenter des nouvelles formes d’écriture, notamment avec Qui a tuer mon père. En 2018 il publie une oeuvre hybride qui relève de l’essai, est a la fois autobiographique et roman qui s’adresse a l’opposition entre dominant et domine. Nous allons étudier un extrait de cette oeuvre dans lequel l’auteur prend la parole directement pour défendre les domine mais surtout pour dénoncer les dominants. Il s’en prend aux gouvernements qui ont contribué a tuer sont père. Nous allons nous demander comment, dans son texte Edouard Louis argumente avec virulence contre ceux qu’ils juge responsable de la déchéance des opprimes. Dans une première partie nous montrerons que ce texte est une argumentation directe sous forme de réquisitoire. puis dans une deuxième partie, nous étudierons le rôle essentiel de la littérature.
Tout d’abord ce texte est une argumentation directe sous forme de réquisitoire.
En effet la situation d’énonciation dans ce passage est caractéristique d’une argumentation directe : l’auteur est l’annonciateur comme l’indique l’emploi du pronom personnelle « je » a ligne 1: « je prononce » ,l.6 : « j’ai peur», l. 10 et « je refuse » ligne 11. E.L. utilise le présents d’énonciation pour exprime son propos. C’est donc un texte engage, l’auteur prend la parole directement aussi avec la répétition de « je veux » l.6, l.13, l.19 et l.23, qui traduit sa revendication. Edouard Louis s’adresse a un destinataire qui est le lecteur désigné par une périphrase a la ligne 2: « ceux qui me liront ou m’entendront »
De plus, ce texte qui prend la forme d’un discours est aussi un réquisitoire dans la mesure où l’auteur accuse les gouvernements d’être responsable de la misere sociale. De plus le registre polémique est liée a l’utilisation d’un vocabulaire virulent comme « meurtriers » a la ligne 7 repete plusieurs fois pour designer les responsable Politique. L’auteur accuse le gouvernement français a la ligne 11: « je refuse qu’ils soient oubliés ». Dans ce discours Edouard Louis il défend une thèse explicite: il soutien que le gouvernement sont des meurtriers. A la ligne 5 et a la ligne 6 et 10 « parce que », le connecteur logique traduit la volente d’argumenter son propos: il prend la parole pour faire entendre cette accusation.
Enfin dans la seconde partie du texte l’auteur critique explicitement le président Emanuel Macron qui accuse d’avoir « tuer son père » qui apparait comme une victime (l.36) face un bourreau qui représente E. Macron. Edouard Louis exprime une relation entre une victime et son bourreau. Désigne une métaphore concrète qui permet de visualiser ce qui fait le président, il affame les plus pauvres. Effectivement E.Louis l’accuse d’enrichir les plus riches et d’appauvrir les plus pauvres. A la ligne 31: « il pense que les plus pauvres sont trop riches, que les riches ne sont pas assez riches » il utilise l’antithèse avec « pauvres » et « riches » pour insister sur les dominants toujours plus dominant et les domines toujours plus domine. E.Louis apporte la prouve de ce qu’il affirme a l’aide d’un exemple « le gouvernements d’Emmanuel Macron retire cinq euros
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