Les « Dialogues des morts », Fénelon
Chronologie : Les « Dialogues des morts », Fénelon. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ezbozo • 3 Janvier 2023 • Chronologie • 620 Mots (3 Pages) • 502 Vues
Les « Dialogues des morts » publié en 1712 par Fénelon appartient au genre littéraire du dialogue d'idées.
En quoi les idées de Socrate poussent Timon à guérir de sa misanthropie ?
Tout d'abord nous allons étudier comment Socrate défini la misanthropie de Timon puis nous étudierons les paroles de Socrate visant a soigner cette misanthropie.
Nous allons tout d'abord étudier la manière de décrire de Socrate. Tout d'abord, Socrate décrit la misanthropie de Timon comme « une vertue faible » et lui dit qu'il en est plus «sauvage» en utilisant cette métaphore le comparant a une sorte d'animal sauvage.
Il dit également que c'est un vertu âpre et impatiente et que vivre au milieu des hommes avec cette vertu est « les tromper, pour les éblouir, et pour en tirer de quoi contenter ses passions. » Socrate dit alors que c'est devenir « le plus méchant des hommes » et que c'est se préparer aux « malheurs qu'on mérite » comme le prouve son antithèse avec une « divinité bienfaisante sur la terre ».
Il s'agit maintenant d'étudier comment les paroles de Socrate visent a soigner la misanthropie de Timon. Il lui suggère de ne pas essayer de ne pas rester avec les « corrompus », il affirme que « le grand nombre est toujours corrompu ». Socrate fait une généralité de la société et pousse Timon a s'en isoler en prenant une « retraite honnête et tranquille ».
l'auteur essaye donc de dévier timon vers la philanthropie et utilise une antithèse avec « une vertu douce, patiente et désintéressé » opposé a la misanthropie une vertu faible, mêlée d'un chagrin de tempérament.
Suite à cela, Socrate suggère a timon d'inverser sa haine pour délivrer les hommes du mal qu'il leur fait et utilise donc une métaphore : « Le médecin hait la fièvre et toutes les autres maladies qui tourmentent les corps des hommes; mais il ne hait point les malades». Il dirige alors Timon vers une philanthropie bénéfique pour la société en continuant sa métaphore : « soyez un sage et charitable médecin, qui songe à guérir son malade par amitié pour lui, loin de la haïr ».
pour finir, Socrate énonce les maladies a guérir en comparant « l'avarice, l'ambition, l'envie et la colère » à « des abcès et des ulcères » en précisant que l'avarice, l'ambition,... sont des plus grandes et plus dangereuses plaies.
Pour conclure, Afin de montrer les idées visant la guérison de Timon nous avons d'abord vu comment Socrate définissait cette misanthropie puis analysé la manière de guérir de Socrate afin d'observer enfin qu'il défini cette misanthropie comme une faible vertu qui rend Timon plus « sauvage ». Il ajoute que cette vertu est âpre et impatiente et qu'il en serai dangereux pour la société que de continuer a vivre parmi celle-ci. Il ajoute que l'on devient alors le « plus méchant des hommes ».
Enfin, Socrate décide alors de dévier Timon vers la philanthropie, isolé du monde tel une « divinité bienfaisante sur la terre » et tente d'inverser sa haine pour guérir les hommes des maux qu'il éprouvent tel un « médecin ».
Nous nous demanderons alors comment Timon pourra guérir et comment se comportera t-il à la suite.
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