La volonté et l'autonomie

Avant de se lancer dans le récit, je vais vous faire un point sur la biographie.

En effet, Grégoire Moutel est un médecin, enseignant, chercheur, éthique médicale des organisations de santé. En faisant des recherches, j'ai pu constaté qu'il est l'auteur de nombreuses publications internationales et d'ouvrages dédiés à ces questions. Spécialiste des questions d’éthique appliquée en santé, il est titulaire d’une habilitation à diriger des recherches (HDR). Dont les domaines de recherches sont : éthique et santé, bioéthique, responsabilité professionnelle, analyse des pratiques en santé et éthique de la décision.

Il est l’auteur de nombreuses publications internationales et d’ouvrages dédiés à ces questions.

Cependant, Grégoire Moutel s'élaborent « La Volonté et l'autonomie du patient face à la décision de soins » en Juin 2015.

C'est un article de journal qui est constituée de 3 pages à étudier de la page 43 à 45.

Ici, est évoquer le principe de la volonté et l'autonomie du patient.

L'approche théorique de cet article sont l'anthropologie, psychologie et sociologique.

Grégoire Moutel veut nous démontrer que l'autonomie et la volonté du patient se traduit par une construction partagée de la décision de soins. Ce qui incite aux soignants a prendre en compte les problèmes, les désirs et les valeurs culturelles du patient. Après avoir montré la volonté et l'autonomie du patient, nous analyserons le respect de l'autonomie dans la bienfaisance.

Le principe d'autonomie est à la base des patients qui prétendent exprimer librement leur autorité sur eux-même. Après avoir bien compris la situation, il dévoilera son choix et devra respecter sa décision.

Tout d'abord, l'attribut essentiel qui reconnu à la personne est celui de l'autonomie.

La volonté et l'autonomie transforme la personnalité du sujet moral, assure sa dignité, lui permet de devenir le législateur de sa propre loi.

Je constate que l'auteur évoque « Le désir éthique concernant le refus de soins relève de cette problématique » page 43

En effet, selon moi, le patient a besoin d'être assistée ou contrôlée d'une manière continue. Puisqu'elle est en état d'exprimer sa volonté, quelqu'un ne peut décider à sa place si elle refuse un soin, un examen ou toute forme de projet de soin. Par exemple, pour les soins médicaux, elle est susceptible de s'opposer.

Pour le soignant, la volonté et le respect de l'autonomie se traduira spécifiquement par la personne qui refuse le traitement qui comprend parfaitement les informations qui lui ont été transmises. C'est donc ainsi par l'échange le soignant peut concilier la relation d'aide de bienfaisance, respect de l'autonomie et du principe de justice du patient.

Grégoire Moutel évoque aussi « l'équipe soignante doit évaluer la capacité du patient à se déterminer librement » page 45. Il montre que le respect de l’autonomie

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