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La Princesse de Clèves

Chronologie : La Princesse de Clèves. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  13 Janvier 2022  •  Chronologie  •  1 515 Mots (7 Pages)  •  473 Vues

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Introduction : Nous étudions « La Princesse de Clèves » un roman qui a marqué le 17éme siècle, ce roman a été le premier roman moderne écrit par Mme de Lafayette en 1678, pour ces pairs, qui traitent de sujets contemporains de son époque à travers lequel tout le monde peut s’identifier. Nous pouvons classer ce roman entre la période de la préciosité et du classicisme. On nous conte l’histoire d’une jeune femme qui se présente à la cour de France avec des qualités physique ainsi que morale irréel, qui se maria par considération avec le prince de Clèves mais tomba passionnément amoureuse du Duc de Nemours qui lui rends ces sentiments avec force, ce qui la plongea dans le cruel dilemme de la passion amoureuse ou du devoir marital. La scène d’aveu à des conséquences sur la santé psychique de monsieur de Clèves car cette aveu le fait cogiter. A la suite de la scène des rubans qui est connus de son mari et dont la confiance qu’il avait dans les deux personnes les plus proche de lui se volatilise, cette scène le ronge et l’amène aux portes de la mort mais avant de s’en aller il dévoile ses pensées les plus profondes.

Quels sont les conséquences de la découverte de la scène des rubans sur la santé physique et mental du Prince de Clèves ?

Phrase d’Axe :     La mise à l’honneur du prince lui permet d’exprimer ses dernières pensées en lui accordant un temps de parole précieux aux yeux de la princesse et lui permet de se libérer de ce poids sur les épaules avant de pouvoir fermer les yeux.

Une relation sous le signe de la passion

Amour, passion et pathétique :

Ce récit pathétique est la dernière entrevue de la dernière entrevue entre M. de Clèves et sa femme. Son état émotionnel fait écho à la scène d’aveu qui le détruit psychologiquement et l’amène dans un état physique lamentable.

Hyperbole : - « il avait beaucoup d’inquiétude »

  • « Violent chagrin »
  • « Si opposé et si douloureux »
  • « Cruel déplaisir »
  • « La vie me ferait horreur »
  • « Cruellement »
  • « Violences »

Montre la sincérité et la profondeur de sa passion : - « Elle a été au-delà de ce que vous en avez vu, Madame ; je vous en ai caché la plus grande partie par crainte de vous importuner, ou de perdre quelque chose de votre estime, par des manières qui ne convenaient pas à un mari ».

Tirade théâtrale/ style direct : - « Vous versez bien des pleurs, (…) j’aie la faiblesse d’y jeter les yeux ! »

Sentiments toujours présents : - « je vous aimais » ; « une personne que j’ai tant aimée » ; « la passions que j’avais pour vous »

Emotion mise en évidence par une exclamation : - « Ah ! Madame »

La valeur et la profondeur de son amour : - « je méritais votre cœur » ; « une passion véritable et légitime »

La mort est proche : - « presque abandonné des médecins » ; « une nuit très fâcheuse » ; « il avait beaucoup d’inquiétude »

Accentuation : « Un des derniers jours de son mal »

Souffrir et faire souffrir

Malheur, Reproche, Accusation, Souffrance, Jalousie

Les doutes et la découverte de la scène des rubans, l’a rendu fou et Le Prince déverse sa haine sur la princesse, ceci nous démontre un contraste entre l’avant et après où nous le pensions parfait, mais nous montre que la passion le rend rationnel donc plus humain que transi- d’amour.

Connaissance de son malheur : - « Je vous aimais jusqu’à être bien aise d’être trompé (…) j’ai regretté ce faux repos dont vous m’avait tiré »

Conscience et Lucidité de son état : - « vous versez bien des pleurs (…) pour une mort »

Accusation d’infidélité : - « des nuits que vous passez avec monsieur de Nemours » ; « je parle d’une femme qui a passé des nuits avec homme » accentuation avec une accumulation de sentiment négatif : - « en la regardant avec dédain »

Expressions qui expriment le reproche : - « des reproches » ; « cruel déplaisir » ; « si votre vertu n’avait pas plus détendue » ; « aise d’être trompé » ; « à ma honte » ; « regretté ce faux repos dont vous m’avez tiré » ; « ôte l’estime et la tendresse que j’avais pour vous » ; « la passer avec une personne (…) pour vivre séparé de cette même personne » ; « je méritais votre cœur » ; « vous regretterez quelque jour (…) véritable et légitime » ; « vous connaitrez la différence (…) l’honneur de vous séduire » ; « vous pourrez rendre monsieur de Nemours heureux, sans qu’il vous en couté des crimes »

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