Anthropologie : Les Rites corporels chez les Niacirema
Chronologie : Anthropologie : Les Rites corporels chez les Niacirema. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vincent Miotto • 22 Mars 2022 • Chronologie • 946 Mots (4 Pages) • 608 Vues
Vincent MIOTTO
Groupe 0001
Journal de bord
Travail présenté à madame Claudia LESSARD
Peuples du monde : Initiation à l’anthropologie
381-102-SF
Département des sciences
Programme Science-Humaine
Cégep de Sainte-Foy
Le mercredi 15 septembre 2021
Les Rites corporels chez les Niacirema
421 mots
Une créature magique
Les croyances et les pratiques magique des siocébéuq interpellent beaucoup les anthropologues. En effet, certaines croyances de cette tribu relèvent de l’imaginaire. Par exemple, celle de la Stned sed eéf. Inspirée de l’histoire de «la petite souris », qui se retrouvent dans plusieurs tribus d’Europe, la Stned sed eéf est un personnage mythique. Cette croyance est réservée seulement aux enfants de la tribu, car elle est une invention transmise des parents aux enfants. Lorsque les enfants atteignent un certain âge, leurs dents tombent pour leur permettent de devenir adulte. La Stned sed eéf sert à rassurer les enfants lorsque ceux-ci perdent leurs dents de lait. En effet, les parents laissent croire aux enfants que cette créature passera, une fois la nuit venue, afin de laisser de l'argent ou une gâterie quelconque à l'enfant pour saluer son courage vis-à-vis cette perte. Le parent profitera donc du sommeil de l'enfant pour subtiliser la dent et la remplacer par autre chose tout en s’assurant que celui-ci ne se réveille pas, comme quoi l’enfant se rendra compte beaucoup trop tôt du mensonge qu’il subit. Si cette croyance n’est pas obligatoire pour les québécois, plusieurs familles de cette tribu l’on instauré dans leur rituel familial qui se transmet de génération à génération.
Le « Jedi » des yeux
Dans la tribu siocébéuq, il existe un type de praticien qui se nomme le etsigolomlathpo. Avec ses pouvoirs magiques les plus puissant, il est capable de voir à l’intérieur de l’œil humain pour ensuite la représenter sur une sorte d’image réaliste. Ensuite, avec l’aide de ses instruments de torture, celui-ci effectue une incision sur la cornée pour pouvoir avoir accès à l’intérieur de l’œil. Digne d’un film de Star Wars, l’etsigolomlathpo semble avoir beaucoup de plaisir à utiliser ses sabres laser pour réparer les yeux des siocébéuq. Un des cobayes nous à expliquer que ce rituel leur permet d’arrêter de devoir porter un genre de longue-vue miniature ou même de devoir recouvrir leurs yeux d’une substance ressemblant à du verre qui leur permet de mieux voir. Heureusement, ce rituel n’est pas obligatoire pour tout le peuple de la tribu, même que seulement les plus fortuné peuvent y avoir accès. Étant très douloureux pour les yeux, ce rituel peut seulement être fait une fois dans la vie du siocébéuq et celui-ci doit suspendre ses activités quotidiennes environs une semaine après le rituel, car il risque de perdre la vue. Toutes ses croyances et rituels de la tribu esiocébéuq font de celles-ci une tribu captivante à étudier pour les anthropologues.
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